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Channel: Blog de l'ESME - Ecole des ingénieurs de l'innovation responsable
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L'ESME Sudria Lyon s'engage pour la parité

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L'ESME Sudria Lyon a signé une convention de partenariat avec l'association Objectif pour l'emploi des cadres en région Rhône-Alpes (OPE). Par le biais de l'action Ingénieur-e et Technicien-ne Demain (ITD) menée par l'OPE, les étudiantes de l'école vont pouvoir promouvoir leur parcours et les métiers de l'ingénierie dans les collèges et lycées de la région.

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Pas assez de femmes ingénieures

Alors que la parité est quasiment atteinte en ce qui concerne le baccalauréat scientifique (47 % des titulaires du Bac S sont des filles), elles ne sont en moyenne que 25 % à rejoindre les écoles d'ingénieurs. Or, la demande d'équipes mixtes en ingénierie est de plus en plus importante au sein des entreprises françaises. C'est dans ce contexte que s'est noué le partenariat entre l'ESME Sudria Lyon et OPE. « Initialement, le but de notre structure était d'accompagner les jeunes diplômés en sciences et techniques dans la recherche de leur premier emploi, explique Florence Chappuis, chargée de mission pour ITD. Au fil du temps, nous avons élargi notre action à tous les postes de cadres, scientifiques ou non, jeunes comme expérimentés. A partir de 2002, en collaboration avec la Délégation régionale du droit des femmes et de l'égalité Rhône-Alpes, nous avons lancé ITD, pour promouvoir les métiers scientifiques et techniques auprès des jeunes et favoriser l'égalité filles/garçons dans ces filières. C'est pourquoi nous avons choisi de nous associer à l'ESME Sudria, école déjà très engagée sur ces questions via, entre autre, le siteFemme Ingénieure.»

Témoigner pour servir de modèle

Les termes du partenariat sont simples : les étudiantes de l'ESME Sudria Lyon seront régulièrement invitées à intervenir dans les établissements scolaires du secondaire des académies de Lyon et Grenoble. « Nous voulons que les étudiantes, par leurs témoignages, deviennent des modèles pour les collégiennes et lycéennes, poursuit Florence Chappuis. La proximité d'âge et le fait que les intervenantes étaient bachelières il n'y a pas si longtemps aide à cette projection.» Sur l'ensemble de l'année, ITD organise plus d'une centaine d'échanges de ce type dans le Rhône, l'Isère et l'Ain, grâce au Conseil régional Rhône-Alpes, au Conseil général du Rhône et à la fondation C.Génial.

Un accompagnement professionnel

Mais le partenariat ne s'arrête pas là. En plus de revenir sur leur parcours et de le valoriser auprès d'un public plus jeune, les étudiantes de l'ESME Sudria participant à ITD rejoignent un réseau professionnel regroupant ingénieures, scientifiques et ingénieures. « En rejoignant ce réseau ITD, nous proposons aux étudiantes un accompagnement sur le long terme, conclut Florence Chappuis. Nous les invitons à des rencontres professionnelles pour développer leur réseau et elles pourront participer à des sessions d'entraînement professionnel. Cela se traduira par un suivi du projet professionnel - aides méthodologiques de valorisation d'un CV ou de rédaction d'une lettre de motivation. Mais elles bénéficieront également, si elles le souhaitent, des moyens d'OPE dans le cadre de leur première recherche d'emploi.»


A la conquête de Mars !

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Le 5 novembre, à l'occasion de ses rendez-vous mensuels, Les mardis de l'ingénieur, l'ESME Sudria accueillera dans ses locaux de Paris-MontparnasseAlain Souchier, fondateur et président de l'association Planète Mars, branche française de Mars Society. Lors de cette conférence intitulée « La conquête de Mars», il reviendra sur les dernières avancées concernant l'exploration de la planète rouge, sur les nouvelles étapes à venir et sur le rôle des ingénieurs dans ce grand projet spatial.

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Mars, la nouvelle frontière

Depuis la fin du programme Apollo qui a permis à l'homme de poser le pied sur la Lune, la conquête de Mars s'est imposée comme la nouvelle grande étape de la découverte de l'espace et de notre système solaire. La planète rouge est devenue la nouvelle frontière. Après l'envoi réussi d'une multitude de sondes, robots et rovers (les plus connus étant Opportunity et Curiosity), l'idée de vols habités à destination de notre planète voisine relèvent de moins en moins de la science-fiction. On envisage les premiers vols habités en orbite d'ici 2030. En ce qui concerne le premier homme sur Mars, il ne devrait pas fouler son sol avant 2035.

Le rôle de l'ingénieur dans l'exploration martienne

Dans ce cadre, le programme international Mars Society (et de son chapitre français, Planète Mars), qui réunit astronomes, astrophysiciens, planétologues, exobiologistes... étudie les possibilités d'exploration et de colonisation de la planète rouge. Les ingénieurs - en aérospatial mais également en matériaux, en mécanique, en systèmes de transmission... - auront un rôle primordial à jouer dans ces développements à venir. C'est pourquoi l'ESME Sudria invite Alain Souchier à s'exprimer le 5 novembreà l'occasion d'un nouveau mardi de l'ingénieur. La conférence se déroulera dans sur le campus de Paris-Montparnasse et débutera à 18 h. Si vous souhaitez y assister, merci de vous inscrire en remplissant le formulaire en ligne.


alain_souchier.jpgAlain Souchier est passionné par l'espace depuis sa plus tendre enfance. Après des études en ingénierie à l'Ecole Centrale (promotion 1971), il intègre la Société européenne de propulsion, qui conçoit les moteurs-fusées équipant les premiers véhicules spatiaux européens. Parallèlement à ses activités dans l'ingénierie, il rejoint de nombreuses associations et sociétés liées à l'espace : Cosmos Club de France, Centre national d'études spatiales (Cnes), ou encore Programme Préparation du Futur et Coopération Européenne, avant de fonder Planète Mars, dont il est aujourd'hui président.

Les nouvelles technologies à la conquête de Mars

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Pour son premier mardi de l'ingénieur de la nouvelle année scolaire, l'ESME Sudria accueillait dans ses locaux de Paris-Montparnasse Alain Souchier, président de l'association Planète Mars et ancien ingénieur en propulsion moteurs-fusées à la Snecma, le 5 novembre. A cette occasion, il est revenu sur les enjeux de l'exploration spatiale et martienne dans le contexte global de l'ingénierie. La conférence était également retransmise sur les Campus de Lyon et Lille.

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Mars, la nouvelle frontière à conquérir

L'exploration martienne est motivée par quatre axes clés :

  • La recherche scientifique : compréhension de la formation des planètes et recherche des conditions ayant pu entraîner la vie sur cette planète.
  • Le progrès technique : les missions spatiales impliquent une innovation constante dans les secteurs de l'énergie, du recyclage ou de la robotique.
  • La coopération internationale : à l'instar de la mise en place de la station spatiale internationale, une mission martienne impliquerait la collaboration de nombreux pays et entreprises, constituant de fait un réseau.
  • Le rêve : à une époque où les ressources s'amoindrissent, se dire que Mars représente une possibilité est facteur d'espoir.

Pour toutes ces raisons, les ingénieurs, toutes disciplines confondues (aérospatial évidemment, mais aussi robotique, environnement, informatique, réseaux, matériaux...) ont tout intérêt à se pencher sur les opportunités que pourrait offrir cette nouvelle aventure spatiale.

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De nouveaux défis pour l'ingénieur

Avec le lancement des sondes (Mars compte actuellement trois satellites envoyés depuis la Terre autour de son orbite) et de véhicules d'exploration et d'analyse (Opportunity et Curiosity), l'homme a prouvé qu'il pouvait envoyer des appareils de plusieurs tonnes sur la surface de la planète rouge. Cependant, pour pouvoir espérer effectuer des missions habitées martiennes, les ingénieurs vont devoir surmonter quelques difficultés encore majeures, notamment en propulsion et gestion énergétique.

En 60 années de fuséologies (depuis Von Braun qui, en 1950, voulait faire décoller des appareils de 37 000 tonnes à des modules de vie martienne d'une masse estimée de 400 tonnes), la propulsion a connu beaucoup de progrès. Cependant, les propulseurs actuels peuvent transporter des charges estimées d'un peu moins de 150 tonnes. Plusieurs options sont donc à l'étude :

  • Propulsion chimique et création du carburant nécessaire au retour sur place : c'est l'option la plus plausible aujourd'hui, explorée par le projet Mars Direct. Un premier module de synthèse du CO2 martien en méthane exploitable serait envoyé. Deux ans plus tard, un vol habité, apportant également un module de synthèse de secours, viendrait effectuer sa mission scientifique.
  • Propulsion nucléothermique : cette piste est envisagée par le projet DRA 5.0 de la Nasa. Un réacteur nucléaire entraînerait la combustion d'hydrogène qui propulserait l'appareil. Cependant, il demanderait un système de refroidissement gigantesque.
  • Propulsion nucléoélectrique : pour l'heure, une telle entreprise est quasiment impossible, les systèmes d'alimentation électrique (panneaux solaire, moteurs ioniques ou autres) étant trop lourds pour être efficaces.

Outre ces questions d'ordre énergétique, les ingénieurs auront également à se poser des questions quant aux matériaux (un aller vers Mars dure en moyenne six mois, durant lesquels des éruptions solaires hautement radioactives peuvent avoir lieu), à la mécanique (conception de véhicules adaptés au terrain martien) ou en systèmes de mesure pour les différents équipements de recherche.

Actuellement, les perspectives d'un premier voyage habité (en orbite seulement) vers Mars serait prévu d'ici 2030, pour des missions humaines sur le sol de la planète rouge aux alentours de 2035. A n'en pas douter, les ingénieurs qui concevront les véhicules de ces missions (voire qui seront à leur bord) sont déjà nés. Il ne tient qu'à vous de prendre part à l'aventure !

Parcours d'Anciens : Christian Bouzage, fondateur de STIMECA

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CB1.jpgChristian Bouzage (ESME Sudria promotion 1982) a crée STIMECA, une entreprise industrielle familiale, spécialisée dans la métallurgie. Il revient sur son parcours post-diplôme et ses responsabilités en tant que chef d'entreprise.

Quel est votre parcours professionnel ?

J'ai été diplômé de l'ESME Sudria en 1982. J'ai commencé dans l'entreprise familiale de mes parents, spécialisée dans le négoce de machines agricoles. Après quelques années, l'entreprise rencontrant des difficultés, j'ai décidé de créer ma propre activité. J'ai démarré l'activité avec l'aide d'un industriel local qui cherchait un sous-traitant dans le domaine du découpage emboutissage (procédé de déformation des métaux obtenue sous presse). Nous avons démarré à trois personnes en 1989 et l'entreprise s'est développée petit à petit.

Quels sont vos domaines d'activités ?

Nous sommes une entreprise de sous-traitance : nous fabriquons uniquement des pièces sur plan. Nous travaillons à partir de produits métallurgiques du commerce comme des feuilles de tôles, des profilés, des tubes, des barres rondes... Nous travaillons l'acier, l'inox et l'aluminium dans des épaisseurs qui vont de 0,5 à 25 mm. Le process de fabrication commence en général par la découpe laser, viennent ensuite des opérations de pliage, puis de soudure. On aboutit à des ensembles mécano-soudés. Nous avons suivi les évolutions technologiques et introduit la découpe laser et la robotisation de nos machines de soudage et d'une plieuse. Nos clients viennent des secteurs du machinisme agricole, du médical, du transport et de la sécurité. Nous sommes 35 personnes dans cette entreprise familiale ou travaillent également mon épouse et mon fils aîné. J'ai un autre fils qui a été diplômé de l'ESME Sudria en 2009, à cette occasion j'ai eu le plaisir de retrouver mon ancien professeur d'électricité, devenu directeur de l'école !

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Quels sont les évolutions du secteur depuis vos débuts ?

Depuis deux ans nous avons racheté une autre entreprise, dans les mêmes métiers. L'idée est de constituer un petit groupe industriel pour offrir plus de services à nos clients. Depuis le début de ma carrière, j'ai vu pas mal d'évolutions dans notre secteur, notamment l'émergence des pays d'Asie ; la Chine particulièrement. Le comportement des acheteurs change avec Internet : ils deviennent autonomes et omniscients. La plupart de nos clients sont d'ailleurs internationaux. Il faut s'adapter aux nouveaux modes de consommation et de commercialisation. Technologiquement, le laser a pris une place prépondérante dans notre production. Les vitesses de coupe sont beaucoup plus rapides. Et si le rythme des innovations s'est ralentit, le secteur est toujours en évolution. Pour un entrepreneur, c'est primordial de suivre ces mutations, de s'y adapter, et d'être en avance sur ses concurrents.

Quels sont vos conseils aux jeunes entrepreneurs ?

En temps que petite structure, je pense qu'il faut se positionner sur des marchés de niche et être toujours en mouvement. Il ne faut jamais se satisfaire du minimum : se remettre en question régulièrement est primordial. Aux jeunes entrepreneurs, je dirais : osez ! C'est une belle aventure à laquelle il faut croire tous les jours. Il n'y pas de mauvaises décisions, que des décisions que l'on rend bonnes.

Bureau des étudiants : renforcer la famille « Sussu »

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Dans chaque école de IONIS Education Group, le bureau des étudiants (BDE) a un rôle essentiel dans la vie étudiante. L'ESME Sudria n'échappe évidemment pas à la règle. Pour 2013-2014, le BDE Amnesia a été confronté à une situation inédite : la répartition des effectifs parisiens sur deux campus distincts, à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) et Montparnasse (Paris 15e). Premier bilan avec son président, Ludovic Anne (ESME Sudria promotion 2015).

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En quoi consistent les activités régulières du BDE ?

Depuis l'élection du BDE Amnesia en avril, nous avons organisé les évènements classiques de la vie étudiante de l'école : des journées d'intégration dans Paris, quelques soirées estampillées ESME Sudria... et nous préparons les rendez-vous annuels que sont IONIS en veille contre le sida, la soirée de Noël et bien évidemment le Gala.

En tant qu'étudiants ingénieurs, la quantité de travail que nous devons fournir est particulièrement importante. Participer à la vie associative et étudiante nous permet de décompresser et de découvrir de nouvelles activités : aide humanitaire, création musicale, robotique, œnologie... En tant que BDE, nous coordonnons les différentes actions étudiantes. Nous cherchons à créer la cohésion au sein de la famille « Sussu ».

Il y a un état d'esprit ESME Sudria ?

Bien entendu ! L'école existe depuis 1905. Nous pouvons donc compter sur l'aide de ceux qui y ont étudié tout comme nous aiderons ceux qui arriveront après nous une fois que nous serons diplômés. La famille « Sussu » dépasse le cadre de l'école stricto sensu et se prolonge dans la vie professionnelle, où nous retrouverons des Anciens de l'école.

C'est pourquoi il faut forger cette solidarité dès la première année. C'est d'autant plus important maintenant que les promotions sont réparties sur deux campus différents, à Montparnasse et Ivry-sur-Seine. Cela ne simplifie pas la vie associative. Pour l'heure, nous avons mis en place plusieurs solutions sur Internet, afin que les différentes promotions restent en contact et poursuivent les échanges. A terme, nous voulons créer un calendrier associatif en ligne, pour faciliter la coordination.

Quels seront les chantiers sur lesquels devront plancher les prochains BDE ?

Le futur bureau sera élu en avril 2014. Plusieurs listes nous ont déjà contactés pour connaître les modalités d'inscription. Un des projets principaux sur lesquels toutes vont faire campagne est l'émulation entre les étudiants, toutes promotions confondues, autour de grands évènements fédérateurs, dès le début de l'année universitaire. S'ils se retrouvent tous en début d'année dans un cadre convivial, on peut imaginer une relance de la dynamique associative de l'école.

L'ESME Sudria Paris-Montparnasse vous ouvre ses portes

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Samedi 30 novembre, de 10 h à 17 h, l'ESME Sudria, l'école des ingénieurs de tous les possibles, vous invite à découvrir sa formation lors d'une nouvelle Journée Portes Ouvertes. L'occasion pour vous, lycéens, étudiants en classes préparatoires aux grandes écoles ou étudiants en licences scientifiques, de découvrir notre formation.

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Lors de cette journée, vous pourrez :

  • Visiter nos locaux et laboratoires ;
  • Découvrir la pédagogie de notre école, mêlant formation scientifique théorique et mise en application directe par les projets ;
  • Rencontrer les équipes enseignantes et encadrantes, ainsi que les étudiants et leurs associations.

Temps forts de cette journée, le directeur général de l'école, Roger Ceschi, animera deux conférences à 11 h et 15 h intitulées « L'ESME Sudria, l'école de tous les possibles».

En outre, vous pourrez participer à une multitude d'ateliers thématiques :

  • Comment réussir le Concours Advance ?
  • Bac +2/+3 : devenez ingénieur par l'apprentissage !
  • Comment intégrer l'école de Bac +0 à Bac +4 ?
  • Ecole pluridisciplinaire : à chacun son parcours !
  • Parcours accéléré Prépa'PRIME : entre ingénieurs et médecins, il n'y a qu'un pas !
  • Comment bien préparer sa carrière ?

Cette Journée Portes Ouvertes se déroulera le 30 novembre, de 10 h à 17 h, dans les locaux de l'ESME Sudria - Paris-Montparnasse. Si vous souhaitez y participer, merci de vous inscrire en ligne.


ESME Sudria Paris-Montparnasse
40/42 Rue du Docteur Roux
75015 Paris
Téléphone : 01 56 20 62 05
Mail : esme_paris@esme.fr

Lille : une nouvelle association de futsal

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Cette nouvelle rentrée a vu la création d'un Bureau des étudiants (BDE) spécifique à l'ESME Sudria Lille. Pour l'heure, deux associations y sont rattachées : une de musculation, l'autre de futsal. Corentin Baroux (ESME Sudria promotion 2017), responsable des sports du nouveau BDE et initiateur de l'équipe de futsal, présente la structure.

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Qu'est-ce que le futsal ?

Le futsal est un sport collectif, très proche du football mais également différent. Il se pratique en intérieur, sur un terrain aux dimensions réduites (entre 375 et 1 050 m²). Deux équipes de cinq joueurs s'affrontent lors de matches durant deux mi-temps de douze minutes. Ces paramètres en font un sport très physique, plus intense que le football traditionnel.

C'est également un sport plus amusant : il se passe plus d'actions, la maîtrise de la balle est plus technique.

Pourquoi avoir créé cette association ?

L'année dernière, comme l'école venait tout juste d'ouvrir, nous n'avions pas de tissu associatif propre sur lequel nous appuyer. Plusieurs étudiants de la promotion 2017 de l'ESME Sudria Lille ont donc rejoint l'équipe de football de l'ISEG Group voisin. Avec la nouvelle année universitaire et la création du BDE, avec Yacine Tal, un étudiant de l'ISEG Group Lille, nous avons décidé de nous appuyer sur cette première expérience pour créer une association de futsal. C'était également l'occasion de rassembler les deux écoles autour d'une même association.

Pratiquer ce sport, c'est l'occasion de retrouver ses camarades de promotion dans un contexte différent et de s'aérer l'esprit après les journées de cours. Mais le futsal n'est pas sans vertus pédagogiques : on apprend à travailler en équipe, nous côtoyons des étudiants de l'ISEG Group avec qui nous seront peut-être amenés à travailler plus tard et les différentes rencontres inter-écoles nous permettent de constituer un début de réseau.

Quelles sont les perspectives pour l'association de futsal de l'ESME Sudria Lille ?

Avec le lancement de l'association, nous avons décidé de participer au championnat régional universitaire de futsal du Nord-Pas-de-Calais. Tout au long de la saison, nous rencontrerons sept autres écoles supérieures. Nous avons déjà remporté nos deux premières rencontres. Ces matches ont lieu le jeudi après-midi, une semaine sur deux.

Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux membres. Pour l'heure, nous sommes trois joueurs de l'ESME Sudria et deux de l'ISEG Group. Nous nous entraînons le lundi soir. Si ce sport vous intéresse, je tiens des permanences tous les midis en salle de conférences dans les locaux de l'école. N'hésitez pas à venir me voir pour plus d'informations.

Par ailleurs, mercredi 27 novembre, à l'occasion de la semaine d'action IONIS en veille contre le sida, nous organisons un tournoi inter-écoles lilloises du Groupe. Au total, six équipes (ISEG Group, ISEFAC, e-artsup, Epitech, ESME Sudria et une composée de personnels enseignants) s'affronteront. N'hésitez pas à venir nous voir pendant ces rencontres conviviales.

Vincent Bouatou, invité des Mardis de l'ingénieur

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Pour sa deuxième édition de l'année, le cycle de conférences les Mardis de l'ingénieur invite Vincent Bouatou, directeur adjoint de la recherche de Morpho, une société filiale du Groupe Safran, spécialisée dans la sécurité biométrique. La conférence aura lieu mardi 3 décembre, dans les locaux de l'école à Paris-Montparnasse.

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Après être passé par les unités de recherche de sociétés comme Sagem ou Microsoft, Vincent Bouatou a rejoint le Groupe Safran. C'est en qualité de directeur adjoint de la recherche et de la technologie de Morpho qu'il interviendra sur le thème de l'ingénieur en tant que clé de voûte de la stratégie de différenciation au sein de l'entreprise. Cette conférence sera animée par Elodie Roullot, directrice de la recherche de l'ESME Sudria.

Cette nouvelle édition des Mardis de l'ingénieur aura lieu le 3 décembre, à partir de 18 h, dans les locaux de l'ESME Sudria - Paris-Montparnasse. Pour vous inscrire, merci de remplir le formulaire en ligne.


Les Mardis de l'ingénieur sont un cycle de conférence à destination des futurs ingénieurs formés par l'ESME Sudria. L'école accueille une personnalité importante notamment dans les champs scientifique, économique ou managérial. Ces échanges sont l'occasion pour les étudiants de mieux appréhender la place qu'ils occuperont dans les entreprises, où dynamisme et innovation sont de mise.


L'ESME Sudria en Chine

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Le 11 octobre, Roger Ceschi, directeur général de l'ESME Sudria, rencontrait Qiao Jianyong, le nouveau président de la Beijing University of Posts and Telecommunications (Beijing Youdian Xueyuan ou BUPT), l'une des universités les plus réputées dans le domaine des télécommunications de Chine.

partenariat_esme_bupt.jpgRoger Ceschi (à gauche) et Qiao Jianyong (à droite)

Accélérer les échanges entre les deux établissements

Cette rencontre fut l'occasion pour les deux directeurs de réaffirmer les liens qui unissent ces deux écoles d'ingénieurs de pointe. Jusqu'à présent, les étudiants de l'ESME Sudria pouvaient effectuer une partie de leurs études à Pékin au sein de la BUPT dans le cadre de leur semestre de troisième année à l'International. La réciproque est valable, des élèves chinois étant accueillis à Paris chaque année.

A partir de cette année, ce partenariat ira plus loin, la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) ayant accrédité l'ESME Sudria à délivrer son Master of Science (MSc) « Energy and control systems » aux étudiants de la BUPT titulaires du diplôme Benke (équivalent à notre Bac +4). Dans ce contexte, les deux directeurs ont réaffirmé leur volonté d'accélérer les échanges entre leurs établissements, par les échanges d'étudiants, de professeurs et de chercheurs, mais également par la mise en place d'un programme commun entre l'ESME Sudria et l'école d'automatisation de la BUPT.

La BUPT est l'un des quatre établissements chinois avec lesquels l'école entretient des partenariats. Les trois autres sont le Beijing Institute of Petrochemical Technology, le Beijing Institute of Technology et la Shanghai Jiao Tong University.


Roger Ceschi, directeur général de l'ESME Sudria : « Ce nouveau partenariat avec la Beijing University of Posts and Telecommunications, un des meilleurs établissements chinois dans l'enseignement de l'ingénierie des télécommunications, assied l'envergure internationale de l'ESME Sudria. Avec ce nouveau MSc, construit en collaboration étroite avec la BUPT, les étudiants chinois bénéficieront d'une formation de pointe en trois semestres - le premier en Chine, le deuxième au sein de l'ESME Sudria et le troisième étant un stage dans l'entreprise et le pays de leur choix - dans l'un des sujets d'ingénierie énergétique les plus pertinents du moment. Ce nouveau programme devrait commencer en janvier 2014. »

Vincent Bouatou : l'importance de la recherche en entreprise

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Mardi 3 décembre, dans le cadre de son cycle de conférences des Mardis de l'ingénieur, l'ESME Sudria accueillait Vincent Bouatou dans ses locaux de Paris-Montparnasse. Directeur adjoint de la division recherche et technologie au sein de la société Morpho (filiale du Groupe Safran), il venait présenter le rôle et l'importance de l'ingénieur en recherche et développement (R&D) au sein des entreprises technologiques. La conférence était modérée par Elodie Roullot, directrice de la recherche de l'ESME Sudria.

mdli_vincent_bouatou01.jpgElodie Roullot et Vincent Bouatou

L'innovation au cœur de l'entreprise : l'exemple de Morpho

Le groupe Safran investit chaque année environ 1,6 milliards d'euros dans la R&D, soit 12 % de son chiffre d'affaires et mobilise 21 % de ses effectifs dans ce domaine. C'est un des seuls grands groupes au monde à engager autant de moyen dans la recherche. « Il s'agit d'un véritable positionnement stratégique, affirme Vincent Bouatou. Le niveau technique déployé dans chacun des secteurs du Groupe est énorme, pour la simple et bonne raison que si nous livrons des produits ou services défaillants, d'une manière ou d'une autre, cela va entraîner la mort de personnes quelque part dans le monde : parce qu'un moteur d'avion fonctionnera mal ; parce qu'une transmission radio n'aura pas été claire... Il y a donc impératif à mobiliser toutes les compétences possibles pour réduire le risque à zéro. C'est le rôle de l'ingénieur en R&D.»

Vincent Bouatou est alors revenu sur cinq points essentiels de l'innovation dans la R&D à travers l'histoire de Morpho :

  • Trouver un marché permettant un développement susceptible d'intéresser le plus grand nombre, soutenable par des institutions ou des Etats.
  • Nouer des partenariats stratégiques : les petites structures ont certes pour elles la souplesse et la réactivité, mais les moyens humains ou économiques leurs font rapidement défaut ; en s'associant à un grand groupe - par exemple - elles peuvent continuer à développer leur activité.
  • Préserver une recherche de rupture : l'innovation n'est pas éternelle, il faut constamment anticiper la nouveauté.
  • S'adapter au marché et aux attentes : encore une fois, il s'agit d'anticiper les tendances et de comprendre les besoins du public. Innover pour l'innovation n'a pas de sens ; il faut qu'in fine, le public s'y retrouve.
  • Avoir un impact sociétal : tant pour l'image publique que pour les équipes de R&D, il faut que l'innovation ait un sens et serve le plus grand nombre.

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L'ingénieur en R&D, un acteur social

« Pour toutes ces raisons, l'ingénieur en R&D doit être au fait de toute l'innovation technologique qui l'entoure, poursuit Vincent Bouatou. Il faut qu'il comprenne comment une nouveauté peut-être monétisée. Il faut qu'il tienne une veille technique précise et anticiper les changements de paradigmes. Il faut qu'il puisse travailler avec les startups et comprenne leur écosystème. Surtout, il faut qu'il comprenne que tout est possible : les seules limites existantes sont celles que l'on s'impose ; l'innovation est avant tout une question de force de la pensée de capacité à distordre la réalité.»

Il a terminé son intervention en précisant trois points essentiels pour travailler dans la R&D :

  • Avoir des connaissances techniques poussées.
  • Maîtriser un tant soit peu l'anglais.
  • Travailler sur un sujet passionnant.

Si l'ensemble des étudiants présents dans l'amphithéâtre (ainsi que sur les sites d'Ivry-sur-Seine, Lille et Lyon grâce à la retransmission vidéo) ne seront pas tous ingénieurs en R&D, gageons que la présentation de Vincent Bouatou aura éclairci certains points et, pourquoi pas, créé des vocations.

Découvrez le dernier IONIS Mag

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Chaque trimestre, le IONIS Mag revient sur les temps forts et les moments marquants de la vie des écoles de IONIS Education Group.

Au menu de ce nouveau numéro :

Et plein d'autres choses à découvrir ci-après.

Bonne lecture !

Le campus lillois a répondu présent

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L'ESME Sudria Lillle, accompagnée par l'ensemble des écoles du Groupe IONIS, s'est fortement mobilisée pour la semaine de lutte contre le sida.
Plusieurs événements ont été mis en place, la semaine du 29 novembre. 

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Avec e-artsup, les étudiants ont tout d'abord décoré la façade extérieure du Campus. Ils ont ensuite proposé un petit-déjeuner d'information avec des conférenciers de la LMDE venus parler des risques de transmission et de contamination de la maladie. Un flash mob dans le hall de l'ESME Sudria a eu lieu, pendant qu'une collecte a permis de réunir près de 800 euros au total.

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Un tournoi de futsal, une discipline qui séduit de plus en plus d'étudiants, a été organisé. L'équipe regroupant des étudiants de l'ESME Sudria et de l'ISEG Group - Campus de Lille l'a d'ailleurs remporté. La mobilisation s'est achevée par une grande soirée commune qui a réuni les étudiants de l'ensemble du campus : ESME Sudria, ISEG Group, ISEFAC, Epitech et e-artsup.

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Romain Talmant, étudiant de 2e année à l'ESME Sudria Lille a fait partie des organisateurs de la manifestation : « Cette mobilisation prend du temps. Mais nous savons tous que c'est pour la bonne cause et qu'elle permet de récolter des fonds. Nous sommes persuadés que nous arriverons à éradiquer le sida en France. Ce type d'événement nous permet d'apprendre beaucoup de choses, notamment en nous mettant en contact avec des entreprises et des partenaires.»

"IONIS Education Group en veille contre le sida" est une opération menée depuis sept ans par l'ensemble des écoles du Groupe, dont les étudiants déclinent à leur manière la manifestation.

Pour découvrir les actions de toutes les écoles en France : http://www.ionis-group.com/actualites/ionis-contre-sida

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Le Lab'ESME de Lille

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Depuis la rentrée 2013, l'ESME Sudria Lille a mis en place un laboratoire de conception, le Lab'ESME, inspiré des célèbres fab labs, ouvert à tous et qui mettent à disposition dives outils et machines pour concevoir des objets. Cet espace de co-création, animé par des étudiants de l'ESME Sudria Lille, est ouvert à l'ensemble des étudiants du Groupe IONIS. Johan Verstraete, enseignant et coordinateur pédagogique en est l'encadrant. Il revient sur les six mois d'existence du laboratoire, les projets réalisés, en cours et à venir.

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En quoi consiste le Lab'ESME ?
C'est un laboratoire inspiré des fab lab développés par le MIT avec une charte particulière qui régit son fonctionnement et son équipement : le but est que les labos soient identiques à travers le monde pour qu'un projet qui soit commencé au Japon, puisse être continué aux Etats-Unis et achevé en France. Les projets sont mutualisés sur Internet. Ces fab lab servent à relancer l'innovation et permettent à chacun de réaliser une idée pour l'industrialiser. A l'école, chaque élève peut s'impliquer. Cinq étudiants en sont les permanents. Ils sont au laboratoire le plus souvent possible. Le Lab'ESME possède une vocation pédagogique afin que les élèves appliquent ce qu'ils apprennent en cours et développent des projets communs.

Quel bilan tirez-vous de ces premiers mois d'activité ?
Nous sommes aujourd'hui équipés d'une imprimante 3D et d'une fraiseuse numérique trois axes. Nous avons réalisés pas mal de choses : une horloge mécanique, une tarentule, des plaques, des cadeaux (comme des porte-clés ou des règles personnalisées que nous distribuons lors des journées portes ouvertes)... Les élèves travaillent actuellement sur des Arduino, des circuits imprimés programmables.

Le laboratoire a pour vocation de développer des projets communs...

Oui, c'est une de ses ambitions et c'est le cas actuellement avec e-artsup. Nous venons de lancer un workshop avec cette école. Les élèves vont travailler sur un projet commun à la fois technique et artistique, qui permet aux ingénieurs et aux créateurs de s'exprimer. Nous réfléchissons à développer des projets avec l'ISEG Group et Epitech. A terme, nous souhaiterions nous ouvrir à des porteurs de projets qui seraient accompagnés par les étudiants.

Quel regard portez-vous sur ces nouveaux environnements de co-création ?

Jusqu'à présent, les ingénieurs apprenaient l'informatique de manière virtuelle. Pourvoir, manipuler, découper, scier, concevoir... sont des étapes fondamentales qui éveillent un grand intérêt chez les étudiants. Les ingénieurs, surtout ceux de l'ESME Sudria, doivent avoir ce type de compétences. C'est une opportunité que n'ont pas toutes les écoles...

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Les handballeuses de l'ESME Sudria

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Créée en septembre 2012, l'équipe féminine de handball de l'ESME Sudria compte cette année plus de seize membres, qui participent régulièrement à des matches inter-écoles. Magalie Chanel (ESME Sudria promo 2016), secrétaire du Bureau des Sports, est à l'origine de la création de cette équipe.

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Comment est-née cette équipe de Handball féminin ?

Quand je suis entrée à l'ESME Sudria en 2012, je voulais absolument pratiquer un sport. Avec plusieurs camarades, nous avons décidé de créer une équipe féminine, composée de 1res et de 2es années. Nous avons choisi le handball pour pratiquer un sport nouveau, aucune d'entre nous n'en ayant vraiment fait auparavant. Nous avons recruté les filles grâce au bouche à oreille. Cela n'a pas été simple au début, car nous n'étions pas toujours les dix membres nécessaires pour participer à des matchs. Mais au fur et à mesure, l'équipe s'est solidifiée et nous sommes ravies de compter plus d'une quinzaine de coéquipières cette année !

Quelles sont vos activités ?

Nous sommes inscrites au Comité régional du sport universitaire (CRSU) et participons à des tournois et des championnats inter-écoles. Nous essayons de nous entraîner le plus souvent possible, mais il n'est pas toujours simple de trouver une salle ou un gymnase de libre. Nous nous améliorons surtout lorsque nous nous confrontons à d'autres équipes issues d'écoles d'ingénieur(e)s, de commerce ou d'universités. Notre dernier adversaire était l'équipe d'Assas. Nous avons également reçu quelques équipements (maillots, ballons) via les cotisations du Bureau des Sports.

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Quel est ton rôle au sein du Bureau des Sports ?

Je suis secrétaire du BDS de l'ESME Sudria. Nous nous occupons de toutes les associations sportives : l'organisation, les inscriptions au CRSU, le recrutement d'adhérents... Nous organisons également des évènements transversaux, ouverts à tous et qui sont des moyens uniques de se rencontrer et de se détendre tout en se dépensant physiquement ! Le dernier en date ? Un tournoi de pétanque qui eut lieu fin octobre et qui fut un vrai succès. Nous avons également pour projet la création des « Olympiades de l'ESME Sudria », qui devraient avoir lieu en 2014.

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Un nouveau visiting professor à l'école

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Du 13 au 17 janvier 2014, l'école recevra Cesar de Prada Moraga, professeur et directeur du laboratoire d'ingénierie des systèmes et contrôle automatique à l'Université de Valladolid - Ecole d'ingénierie industrielle.

Depuis 2012, l'ESME Sudria a mis en place un programme de visiting professors qui se succèdent tous les ans à l'école. Ces professeurs font découvrir aux étudiants leurs travaux de recherche. Cela leur permet d'élargir leur vision de l'ingénierie en touchant à des sujets auxquels s'intéressent la communauté scientifique internationale. Pour Roger Ceschi, directeur général de l'ESME Sudria, « en recevant régulièrement des professeurs de renommée mondiale dans leur spécialité scientifique, l'école s'affirme comme un lieu de savoir et d'échange au niveau international».

Quatre conférences sur l'ingénierie des systèmes et du contrôle automatique
Du 13 au 17 janvier 2014, l'école recevra Cesar de Prada Moraga, professeur et directeur du laboratoire d'ingénierie des systèmes et contrôle automatique à l'Université de Valladolid - Ecole d'ingénierie industrielle. Il donnera quatre conférences aux étudiants de Master 1 et 2. Il préside le Comité espagnol sur l'automatique, membre de l'organisation nationale espagnole IFAC. Il est membre de la direction de l'European Union Control Association (EUCA), du Comité technique de l'IFAC sur le contrôle des procédures chimiques, de la Society for Computer Simulation International (SCS) et de l'International Society of Automation (ISA). Il a reçu le prix ISA-Espagne 2008 du meilleur professionnel.

  • Lundi 13 janvier de 14 h à 16 h : « Control structures (cascade, feedforward, ratio, override, selective,...) and control design » (Master 1)
  • Mardi 14 janvier de 14 h à 16 h : « Predictive Control » (Master 2)
  • Jeudi 16 janvier de 14 h à 16 h : « Dynamic optimization » (Master 2)
  • Vendredi 17 janvier de 14h à 16h : « Model identification and validation » (Master 1)


Un programme ambitieux
La série de visting professors été inaugurée en mars 2012 par Alan Purvis, professeur en systèmes électroniques de l'Université de Durham, la troisième université du Royaume-Uni (selon le dernier classement du Sunday Times. Il est une référence internationale dans le domaine du traitement du signal.

Dans le cadre de ce programme, l'ESME Sudria a également reçu Claude Richard de la Haute Ecole d'Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud (Suisse) qui vient chaque année depuis une dizaine d'année pour un module d'enseignement sur les technologies des systèmes de production d'énergie. En 2014, l'école accueillera Alan Oppenheim, professeur du Department of Electrical Engineering and Computer Science et du Research Laboratory of Electronics (RLE) du MIT (Etats-Unis) pour des interventions sur la théorie du signal.


Rendez-vous : séminaire autour des énergies embarquées le 30 janvier

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Ce 30 janvier, le laboratoire Systèmes Embarqués & Electronique de l'ESME Sudria consacrera son premier Séminaire Technologique de 2014 aux« Alimentations à découpage : enjeux et optimisation des énergies embarquées ».

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La CEM : une donnée vitale pour l'entreprise ?

Organisée en relation avecWürth Elektronik et l'association Jessica France / Cap'Tronic, cette journée ouverte- au public est d'abord destinée aux étudiants en deuxième année Master des majeures « Systèmes Embarqués et Electronique » et « Énergies et Systèmes ». « D'autant qu'un des exposés portera sur la CEM, la comptabilité électro magnétique, avec Eric Coeuret d'Emitech, l'un des leaders en France de la certification CEM pour tous les matériels électroniques » note Christian Touseau, responsable du département Systèmes Embarqués et Electronique de l'ESME Sudria.

Les étudiants de première année Master « dont le cours de CEM va commencer » seront donc également les bienvenus : « Dans le monde du wireless aujourd'hui, on occupe de plus en plus l'espace radio-fréquence avec l'explosion des téléphones, du Wi-Fi, du Bluetooth, etc. Il faut mettre une protection en place si l'on veut assurer la sécurité de ces communications. Il est clair qu'en Europe et aux USA, ce sera de plus en plus restrictif, comme des amendes très sévères ou l'interdiction de vendre le produit sur le marché. »

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Curiosité et adaptabilité, les armes de l'ingénieur ?
D'autres questions seront également abordées comme celle de l'energy harvesting. « C'est l'alimentation sans contact, explique Christian Touseau. Ce n'est pas encore commun mais vous avez déjà des chargeurs inductifs pour certains téléphones haut de gamme : le téléphone n'a pas de bloc d'alimentation externe, on le pose sur une plaque et il se recharge. Plusieurs fabricants importants de composants électroniques produisent des puces spécifiques pour assurer la gestion de l'interface. Le procédé est connu depuis longtemps mais avait peu d'applications grand public. Aujourd'hui, un ingénieur qui conçoit une carte pour l'embarqué doit aussi réaliser les alimentations qui vont avec. Cela fait partie des enseignements que prodigue l'école. »

 

Ce séminaire sera donc l'occasion d'apporter de vraies solutions techniques aux futurs ingénieurs de l'ESME Sudria tout en aiguisant leur curiosité. « Le problème quand on fait de la technologie, c'est que s'il y a des lauriers, ils ne sont pas durables et finissent par flétrir. Il faut constamment suivre ce qu'il y a de nouveau. Être curieux, c'est le propre de l'ingénieur », rappelle Christian Touseau pour mieux souligner l'enjeu de l'évènement et des avancées en la matière.

Le Séminaire Technologique aura lieu le 30 janvier, à partir de 8 h, dans les locaux de l'ESME Sudria - Ivry-sur-Seine. Pour vous inscrire, merci de remplir le formulaire en ligne avant le 15 janvier (places limitées).

Au programme :

  • 8h : accueil
  • 8h45 : présentation des intervenants
  • 9h : convertisseurs DC/DC - Choix des inductances / Alain Lafuente, Würth Elektronik
  • 10h15 : pause
  • 10h30 : normes CEM et réglementations / Eric Coeuret, Emitech
  • 12h : déjeuner
  • 13h30 : optimisation des alimentations et économies d'énergie : alimentation offline; récupération d'énergies (Harvesting); transfert de puissance sans contact (WPC) / Alain Lafuente, Würth Elektronik
  • 15h30 : pause
  • 15h45 : Connectique : choix de connecteurs de puissance; connecteurs miniaturisés / Stéphane Brun, Würth Elektronik
  • 16h45 : questions et conclusion


Würth Elektronik est une entreprise spécialiste des composants passifs et électromécaniques.

Programme de l'association Jessica France, Cap'Tronic aide les PME françaises à améliorer leur compétitivité par l'intégration de solutions électroniques et de logiciel embarqué dans leurs produits.

Olivier Terrien, invité des Mardis de l'ingénieur

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Les Mardis de l'ingénieur reprennent du service le 4 février. Organisée en partenariat avec l'association Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) - Région Paris Ile-de-France, cette nouvelle conférence se fera autour de l'ouvrage d'Olivier Terrien, « Les 36 stratagèmes de la guerre électronique » (Éditions JePublie).

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Olivier Terrien

 

Retour vers le futur
Après Vincent Bouatou, présent en décembre 2013 pour échanger sur l'ingénieur en tant que clé de voûte de la stratégie de différenciation au sein de l'entreprise, c'est donc au tour d'Olivier Terrien, ingénieur en systèmes électroniques pour la Défense, de venir à la rencontre des étudiants de l'ESME Sudria pour, cette fois, leur permettre de « comprendre aujourd'hui et d'envisager demain en (re)découvrant hier ». Ou comment observer les évolutions actuelles (et futures) de l'électronique en utilisant une démarche qui se nourrit de l'Histoire et ses ramifications pour développer une vision pertinente de l'époque actuelle.

Le nerf de la guerre
Clin d'œil évident à « L'Art de la guerre » de Sun Tsu et au célèbre traité martial Chinois« Les 36 stratagèmes », « Les 36 stratagèmes de la guerre électronique » re-situe l'électronique au cœur de l'Histoire à travers l'étude de conflits récents (espionnage des télécommunications, piratages dans le cyberespace) et sensibilise le lecteur aux différentes mutations et innovations qu'a connues ce secteur de l'ingénierie synonyme de source de pouvoir. Cet ouvrage doit beaucoup au parcours de son auteur membre de l'Association française de guerre électronique (Guerrelec) et passionné d'histoire qui a multiplié les publications dans la presse internationale sur la stratégie, l'histoire militaire et l'électronique dans les conflits du XXe siècle.

Cette nouvelle édition des Mardis de l'ingénieur aura lieu le 4 février, à partir de 18 h, dans les locaux de l'ESME Sudria - Paris-Montparnasse. Olivier Terrien sera présenté par Roger Ceschi, directeur général de l'ESME Sudria.

Des extraits du livre d'Olivier Terrien sont téléchargeables sur le site www.36stratagemes.fr


Les Mardis de l'ingénieur avec Olivier Terrien, présenté par Roger Ceschi.
Thématique : « Les 36 stratagèmes de la guerre électronique »
Le 4 février à 18 h à l'ESME Sudria - Paris-Montparnasse.
40-42 rue du Docteur Roux
75015 Paris
Pour vous inscrire, merci de remplir le formulaire en ligne
Contacts : communication@esme.fr - 01.56.20.62.48


Les Mardis de l'ingénieur sont un cycle de conférence à destination des futurs ingénieurs formés par l'ESME Sudria. L'école accueille une personnalité importante notamment dans les champs scientifique, économique ou managérial. Ces échanges sont l'occasion pour les étudiants de mieux appréhender la place qu'ils occuperont dans les entreprises, où dynamisme et innovation sont de mise.

HP et l'ESME Sudria à l'assaut des Big Data

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C'est un fait : le traitement des Big Data représente l'un des enjeux majeurs de l'Internet - et plus globalement de l'économie - de demain. En officialisant une nouvelle chaire Big Data en partenariat avec HP, l'ESME Sudria permet à ses étudiants d'avoir toutes les clés pour relever ce défi de la meilleure des façons.

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Big Data et gros enjeux

« Nous avons besoin de scientifiques, d'ingénieurs, d'analystes et de stratèges spécialisés dans le traitement de données de masse, qui soient également capables de comprendre rapidement les besoins du marché » explique Roger Ceschi, directeur général de l'ESME Sudria : l'enjeu est grand et les futurs diplômés doivent être conscients de la tâche à accomplir. C'est à ce titre que l'école a officialisé un partenariat avec la société américaine HP qui consiste à la mise en place d'une toute nouvelle chaire directement liée à la compréhension et l'exploitation des Big Data.

Partenaria-HP-Big-DATA-01.jpgUne représentante de HP et le directeur général de l'ESME Sudria, Roger Ceschi. 

Une formation adéquate
Dans cette optique, une unité d'enseignement composée de consultants HP transmettra régulièrement son expertise aux promotions 2014, 2015 et 2016 des étudiants M2 de la majeure « Ingénierie du système des traitements de l'information ». Elle offrira, en outre, un accès au data center de Grenoble (un centre de données français de classe mondiale) ainsi qu'une formation à différentes plateformes (HP Vertica, Autonomy IDOL et Hadoop) permettant l'analyse en temps réel d'importantes quantités de données, structurées ou non. Par ce biais, l'architecture des Big Data et leurs applications dans l'économie réelle (dans le secteur bancaire et financier par exemple) n'auront bientôt plus de secret pour les futurs ingénieurs de l'ESME Sudria. Quant aux étudiants M1, HP leur proposera des présentations d'initiation aux Systèmes d'Information (lors des majeures anticipées), dont un module sur l'introduction aux Big Data, les technologies en émergence, la réponse aux problèmes d'entreprises et les métiers associés.

De nouvelles opportunités
Déjà partenaires depuis de nombreuses années, HP et l'ESME Sudria continuent de former conjointement les talents IT de demain. Car connaître et maîtriser les Big Data, c'est être en mesure de mieux répondre aux besoins des entreprises. En prenant en compte ces nombreuses données récupérées via les réseaux sociaux, les étudiants s'ouvrent à de nouvelles opportunités de compréhension du comportement des clients, de l'analyse des risques, la détection de fraude et la veille de la réputation en ligne. Ils pourront davantage appréhender l'amélioration de l'avantage concurrentiel et l'optimisation des investissements marketing.

« En créant cette chaire, HP aidera à créer une nouvelle catégorie de spécialistes formés aux technologies HP Big Data qui pourra s'engager dans des secteurs et des postes voués à changer le monde » ajoute Roger Ceschi, comme pour mieux rappeler que le futur s'écrit avant tout au présent.

Do you speak « Physique » ?

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L'ESME Sudria propose des cours scientifiques dans la langue de Shakespeare aux 1res années. Laissant le choix aux élèves d'y assister ou non, cette démarche connaît déjà un petit succès sur le campus de Lyon.

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Mêler physique et anglais, une difficulté insurmontable ?
« Des cours scientifiques à suivre intégralement en anglais ». Dit comme ça, ça n'a pas l'air ni très enthousiasmant, ni très accessible. Et pourtant, après deux premières séances, le bilan se veut déjà positif : « Quand on nous a parlé de mettre en place des cours de thermodynamique et d'électrocinétique en anglais, j'ai tout de suite pensé que ça allait être très difficile, raconte Baptiste Pignet, étudiant en 1re année à l'ESME Sudria Lyon. Mais après un premier cours, cette expérience m'a ravi. Cela m'a apporté un vocabulaire plus technique que nous n'aurions pas forcément pu aborder en cours d'anglais en première année. Et puis certaines bases vues en début d'année ont pu être revues ! »

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Une approche qui évolue à chaque fois
A l'instar de Baptiste, la plupart des étudiants de 1re année de l'ESME Sudria Lyon semblent conquis et répondent en majorité présent lors de ces cours optionnels. Conçus différemment selon le sujet abordé et distillés toutes les trois-quatre semaines, ces cours un peu particuliers suivent deux objectifs principaux. « Le premier objectif, c'est de préparer les étudiants à être capables de suivre un discours scientifique en anglais, ce qui n'est pas forcément très simple au départ quand on a peu d'outils à disposition. Le second objectif s'inscrit dans cette idée de pouvoir élargir le cadre du cours. Cela rejoint l'esprit des cours de l'ESME Sudria, où on a des approfondissements, des coachings, etc. », détaille ainsi Michael Sauzeix, enseignant de physique thermo-optique à l'origine du projet.

Après la thermodynamique et l'électricité, les prochains cours porteront notamment sur l'électromagnétisme et les ondes acoustiques. A noter aussi une autre initiative rattachée à cette expérience : toutes les séances sont enregistrées au format mp3 et disponibles sur l'intranet de l'ESME Sudria (http://web.esme.fr/). Well done !


Bientôt à Lille et Paris ?

« Cette démarche s'inscrit dans cette volonté d'internationalisation chère à l'ESME Sudria, souligne Eric Simon, directeur de l'ESME Sudria Lyon et l'ESME Sudria Lille, à l'origine de cette initiative aux côtés de Michael Sauzeix. Jusque-là, les premières années du cycle Bachelor, qui sont effectuées soit à Paris, soit à Lyon, soit à Lille, n'avaient rien de prévu en termes d'enseignement de matière fondamentale / scientifique en anglais. On avait des cours d'anglais, de maths et de physique, mais cela s'arrêtait là. L'avantage que l'on a à Lyon et Lille, de part des effectifs pour l'instant moins importants, c'est que l'on peut mettre en place des petites expériences pédagogiques de ce genre, voir comment cela fonctionne et, éventuellement si ça marche bien, proposer de les étendre à l'ensemble des écoles. »

Prépa'PRIME : ne perdez plus votre première année !

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Si, au bout d'une première année d'études, vous avez envie de changer d'école ou de vous réorienter, vous vous dites peut-être que la seule option possible qui se présente à vous est de répartir à zéro. Pour contrer cette idée courante, l'ESME Sudria a mis en place le cursus Prépa'PRIME qui permet à l'étudiant souhaitant rejoindre l'école de ne pas perdre un an et d'intégrer directement la deuxième année après un programme intensif de 5 mois. C'est le choix qu'a fait Gloria Wanet, arrivée à l'ESME Sudria après un passage en faculté de médecine.

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Une aventure intense mais qui vaut le coup
Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences de l'ingénieur et avoir passé près d'un an et demi à la faculté de médecine de l'université Paris-Est Créteil, Gloria Wanet aspirait à autre chose. Outre le fait de trouver une nouvelle école afin de s'épanouir, cette jeune étudiante n'avait pas envie de perdre le gain d'une première année au moment de choisir sa réorientation. « C'est ainsi que j'ai découvert la formation Prépa'PRIME et l'ESME Sudria, se souvient-elle. Le programme et l'ambiance de l'école m'ont décidé à tenter cette aventure de 5 mois et je ne le regrette absolument pas ! » Si elle avoue bien volontiers qu'il « faut être vraiment motivé » et ne peut avoir peur d'un « rythme de travail intense » pour valider ce cursus, Gloria admet également que le jeu en vaut la chandelle : « La réussite n'en est que d'autant plus valorisante. Les professeurs sont vraiment très présents et l'effectif réduit de la promotion permet un suivi personnalisé rassurant et agréable. Aujourd'hui, je suis en 2e année à l'ESME Sudria et mon parcours professionnel se dessine peu à peu. » Son avenir, Gloria le voit dorénavant à travers l'ingénierie, même si elle n'oublie pas pour autant la médecine, sa première passion : « J'aimerais m'orienter vers le domaine de la robotique afin de devenir ingénieur dans le biomédical. » Un vrai message d'espoir pour tous les étudiants intéressés par le métier d'ingénieur qui ont déjà validé une première année de médecine (PACES), de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) ou de licence.


Plus d'informations sur : http://www.esme.fr/admissions-prepa-prime.html
Rentrée le 17 mars 2014 (Inscriptions jusqu'à fin février 2014).

Télécharger le dossier de candidature sur : www.esme.fr/admissions-prepa-prime.html


Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter le service des admissions de l'ESME Sudria au 01.56.20.62.05 ou esme_paris@esme.fr

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