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Channel: Blog de l'ESME - Ecole des ingénieurs de l'innovation responsable
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La tête et les jambes !

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marine_vergne.jpgMarine Vergne (ESME Sudria promotion 2017) a intégré l'ESME Sudria en septembre. Témoignage d'une apprentie ingénieure, sportive de haut niveau.

« J'ai découvert l'ESME Sudria par le biais d'un ancien de mon lycée qui avait intégré l'école l'an dernier. Quand il m'en parlait, il était toujours très enthousiaste et dynamique. Aussi, je me suis penchée sur la question, sur Internet puis lors de salons. L'école m'a tout de suite plu ! C'est ainsi que je me suis inscrite au Concours Advance. Il est basé sur les programmes de terminale scientifique. Les examinateurs veulent savoir si nous avons bien assimilé les connaissances requises pour bien appréhender des études d'ingénieur poussées. Il n'y a pas de piège !»

Concilier sport et études

« Je voulais aussi intégrer l'école parce qu'en tant que sportive de haut niveau - Marine est devenue championne de France d'aviron dans la catégorie FS8+ en septembre, avec son équipe de la Société pour l'Encouragement des Sports Nautiques - je voulais pouvoir associer études de pointe (je ne me leurre pas, il y a fort peu de chance que je puisse vivre de mon sport, et le métier d'ingénieure m'intéresse) et poursuivre mes entraînements quotidiens (trois heures par jour). Lors de mon inscription, l'équipe encadrante m'a tout de suite proposée d'avoir des horaires aménagés.

Il est dommage que les catégories individuelles en aviron aient été supprimées par la Fédération française du sport universitaire, car j'aurais vraiment aimé concourir en portant les couleurs de l'école. Je me plais à l'ESME Sudria ! Je suis contente d'avoir trouvé une école grâce à laquelle je peux continuer à m'épanouir dans ma passion tout en acquérant des compétences très solides en ingénierie. »


Morald Chibout parle d'Autolib'

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Dans le cadre des Jeudis de l'ingénieur, l'école a accueilli Morald Chibout, directeur général d'Autolib'le 28 févrierInterrogé par Marc Drillech, directeur général de IONIS Education Group, il est revenu sur l'aventure Autolib' qui fête ses deux ans et compte aujourd'hui près de 65 000 abonnés. 

Morald Chibout a expliqué que " les débuts ont été difficiles " car " personne n'y croyait ". Mais très vite, Autolib' est devenu un succès commercial et technologique en s'appuyant d'abord sur un moteur totalement innovant, équipé d'une batterie au lithium polymère qui permet de stocker de l'énergie. Il a expliqué que ses équipes et lui " n'ont qu'une seule obsession : la satisfaction du client ". " Nous avons quatre ans d'avance sur notre business plan, s'est réjoui Morald Chibout. Nous avons réussi à simplifier un outil complexe. "

Les Jeudis de l'ingénieur sont des conférences mensuelles organisées les derniers jeudis de chaque mois sur le campus Paris Montparnasse de l'ESME Sudria, qui accueillent des personnalités marquantes, dans les champs scientifique, économique ou managérial.

ESME Lab's Week

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Du 15 au 18 avril, l'ESME Sudria organise l'ESME Lab's Week, un évènement destiné à présenter les nouveaux enjeux de recherche au cœur des laboratoires de l'école.

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La recherche, moteur de l'innovation

En plus d'un siècle d'existence, l'ESME Sudria a forgé sa réputation sur la qualité de son enseignement et l'envie constante de pousser à l'innovation. Au cœur de cette innovation, il y a la recherche. L'ESME Sudria s'est, au fil du temps, dotée de quatre laboratoires spécialisés dans des secteurs et technologies d'avenir : Energies et Systèmes, Ingénierie des Systèmes de Traitement de l'Information, Systèmes Embarqués et Electronique et Electronique, Réseaux et Télécommunications. Chacune des quatre journées de l'ESME Lab's Week sera donc naturellement consacrée à un laboratoire en particulier. Au gré de conférences et tables-rondes, les différents intervenants aborderont les grands enjeux et thématiques de ces secteurs.

Quatre jours de conférences

  • Lundi 15 avril, le laboratoire Ingénierie des Systèmes de Traitement de l'Information sera au cœur des débats pour cette première journée de conférences intitulée « Le cloud informatique : enjeux et sécurité», autour de cette grande thématique informatique du début des années 2010 (depuis la multiplication de services proposés au grand public) : le cloud computing. Nombre de questions subsistes sur le sujet (sécurité, applications, usages...), auxquels les intervenants, encadrés par Sébastien Herry, tenteront de répondre.
  • Mardi 16 avril, ce sera au tour du laboratoire Réseaux et Télécommunications d'être mis en avant, avec une journée consacrée aux « stratégies industrielle dans les réseaux et télécommunications». Les différentes conférences réuniront représentant de grands groupes industriels (Huawei, Bouygues Télécoms, Cisco, Vinci Energies), universitaires et entrepreneurs.
  • Mercredi 17 avril sera consacrée au laboratoire Energies et Systèmes et s'articulera autour du thème de « la robotique dans le milieu médical et dans le nucléaire». Deux tables-rondes sont prévues : une consacrée à la robotique dans le milieu médical (où l'usage de bras mécaniques pour effectuer certaines opérations est de plus en plus envisagée), l'autre sur le nucléaire du futur et le rôle de la robotique dans ce domaine (avec comme exemple les commandes du réacteur myrrha, en Belgique).
  • Jeudi 18 avril, le laboratoire Systèmes Embarqués et Electronique conclura cette série de conférences sur le thème de « l'open source et le monde industriel». Systèmes open sources et logiciels embarqués, impacts juridiques des licences libres, open source et recherche scientifique... seront autant de problématiques soulevées pendant les conférences.

L'ESME Lab's Week aura lieu du 15 au 18 avril, de 9 h à 18 h, dans les locaux d'Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Pour plus d'informations, vous pouvez contacter l'école par mail ou par téléphone au 01 56 20 62 05.

Pour vous inscrire, merci de remplir le formulaire en ligne.

« Une formation multidisciplinaire »

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alexis_corbel.jpgAlexis Corbel (ESME Sudria promotion 2017) fait partie des étudiants ayant intégré le nouveau site lyonnais de l'ESME Sudria. Un semestre plus tard, il fait un premier bilan de son expérience au sein de l'école.

Comment as-tu découvert l'ESME Sudria ?

Pendant mon année de terminale scientifique (spécialité sciences pour l'ingénieur), je cherchais tout simplement une école où poursuivre mes études, ne sachant pas encore précisément vers quoi je voulais m'orienter. J'ai découvert l'ESME Sudria sur un forum. Le fait que la formation soit multidisciplinaire et en pyramide (des enseignements les plus larges aux plus précis) m'a tout de suite intéressé. Cette spécialisation progressive a été un atout important pour moi. Par ailleurs, comme je suis intéressé par l'électroniqueet le traitement de signaux, l'ESME Sudria semblait être l'école qui s'imposait. Enfin, comme je suis originaire d'une commune proche de Lyon, le fait que de nouveaux locaux ouvrent près de chez moi a été un plus indéniable.

Aussi, je me suis inscrit au Concours Advance. Tout s'est très bien déroulé : grâce à un bon dossier, j'ai eu la chance de ne pas avoir à passer d'épreuves écrites. J'étais très motivé et les oraux se sont bien passés.

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Après un semestre et demi à l'ESME Sudria, quel est ton ressenti ?

Comme l'ESME Sudria Lyon est encore jeune (puisqu'il n'y a que ma promotion pour l'instant), nous sommes peu nombreux. Nous nous entraidons beaucoup. En plus de cela, la pédagogie de la prépa intégrée change radicalement des méthodes d'enseignement du lycée. L'accent est moins mis sur les connaissances pures mais beaucoup plus sur la réflexion propre. Les enseignants et intervenants nous rappellent régulièrement que l'application de connaissances théorique et la rapidité de résolution de problèmes pratiques importent le plus.

Enfin, en rencontrant les différents responsables de laboratoires lors de journées découvertes et en échangeant avec des étudiants d'années supérieures à l'occasion de la journée inter-villes, j'ai pu confirmer mon intention de suivre un cursus dans la filière réseaux et télécommunications.

Denis Klein, invité des Jeudis de l'ingénieur

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Le 25 avril, à l'occasion de son rendez-vous mensuel, les Jeudis de l'ingénieur, l'ESME Sudria accueillera Denis Klein, ancien vice-président de Siemens SAS et membre de Sénioréflex. Elle se tiendra dans les locaux de l'école de Paris-Montparnasse, à partir de 18 h.

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Une carrière dans l'énergie

Ancien de l'école (ESME Sudria promotion 1975), Denis Klein est passé par Alstom, à la division transport et distribution d'énergie, puis à la direction générale de la filiale RIA du groupe Alcatel-Alsthom, avant d'intégrer Siemens.

Il y prend la direction des activités d'entrainements industriels avant de passer à la direction des activités d'automatisation et drives en France. Il devient ensuite directeur des grands comptes industriels avant d'intégrer le corporate comittee de Siemens AG en tant que vice-président en charge du business development dans l'industrie. Enfin, il est nommé senior vice-président en charge des marchés de l'énergie en France et du développement des activités de Global Account Management du secteur énergie et industrie, toujours chez Siemens AG.

Parallèlement à ces activités, il est également fondateur de la société de conseil Traixellence et est membre du réseau Sénioréflex.

La transmission de compétences, enjeu sociétal

A l'occasion de cette nouvelle conférence des Jeudis de l'ingénieur, il interviendra sur la thématique de la transmission de compétences comme enjeu sociétal. Comment doit-on enseigner les savoir-faire ? Quels sont les rôles de l'école, de l'entreprise ou de l'ingénieur dans cette passation ? Peut-il encore y avoir transmission de savoirs intergénérationnels quand les compétences évoluent constamment ? Autant de problématiques qui seront abordées au cours de ce grand entretien.

La conférence aura lieu jeudi 25 avril,à partir de 18 h, dans l'amphithéâtre de l'ESME Sudria Pars-Montparnasse. Vous pouvez vous y inscrire en ligne ici.

Atout Vent prend le large

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Pour la deuxième année consécutive, la croisière annuelle organisée par Atout Vent, l'association de voile de l'ESME Sudria, s'éloignera des côtes françaises pour naviguer dans les eaux européennes. Du 4 au 11 mai, les participants vogueront au large de l'Île d'Elbe (Italie). L'occasion de faire le point sur l'association avec Pierre Ferrary (ESME Sudria promotion 2014), son président.

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Voile de plaisance

Association créée il y a plus de 30 ans, Atout Vent propose aux étudiants de l'ESME Sudria de pratiquer la voile de compétition et de plaisance. Chaque année, la croisière organisée par l'association est un moment fort de la vie étudiante de l'école : « Lors des premières croisières, on comptait une quinzaine de participants pour deux bateaux, commente Pierre Ferrary. L'an dernier, lors de la croisière au large des côtes croates, nous étions plus de 60 répartis sur sept appareils. Cette année, pour notre voyage autour de l'Île d'Elbe, 51 personnes se sont inscrites. Nous naviguerons sur cinq bateaux. Nous souhaitions proposer ces croisières à l'étranger pour changer des rivages bretons ou gascons que nous commençons à bien connaître.»

Forte d'une quarantaine de membres, l'association est ouverte à tous, curieux sans connaissance spécifique de la navigation comme skippers chevronnés. « Pour ma part, je pratique la voile depuis une quinzaine d'années, précise Pierre. Mais une telle expérience est loin d'être nécessaire pour rejoindre Atout Vent. Par exemple, pour la croisière, plus de la moitié des inscrits a peu voire pas navigué par le passé. Le seul impératif est qu'un minimum d'un skipper expérimenté soit présent sur chaque bateau. Par ailleurs, nous participons à de petites régates sur la Seine pour préparer les nouveaux et organisons des week-ends de découverte.»

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A la recherche d'un successeur

Atout Vent offre également la possibilité aux adhérents qui le souhaitent de pratiquer la voile en compétition : « Chaque année, nous essayons de rassembler les fonds nécessaires pour affréter un bateau au nom de l'ESME Sudria, afin de participer à la Course Croisière EDHEC, ajoute Pierre. Cependant, compte tenu du climat économique, les sponsors sont plus difficiles à trouver. Aussi, cette année, nous avons dû nous associer à une école de commerce montpelliéraine pour permettre aux skippers de l'association qui le souhaitaient de participer à la course.»

Outre les recherches de partenariats, cette association historique est également préoccupée par sa pérennisation. Alors que le bureau va bientôt changer, Pierre cherche un successeur : « Nous sommes ouverts à toute candidature, dans la mesure où le ou la futur/e président/e sache un tant soit peu naviguer. Il serait dommage que nos activités cessent pour une simple raison administrative. Aussi, si un ou une candidat/e souhaite postuler, qu'il ou elle n'hésite pas à entrer en contact avec moi. Atout Vent est une belle aventure !» L'appel est lancé.

The Big Conf' : sensibiliser aux enjeux climatiques et énergétiques

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Le 2 avril, dans le cadre de The Big Conf', l'ESME Sudria Paris-Montparnasse a accueilli une conférence sur le développement durable et l'économie d'énergie. Bastien Cornay (ESME Sudria promotion 2014) est à l'initiative de cet évènement.

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Comment as-tu connu le projet The Big Conf' ?

Je m'intéresse de près aux nouvelles problématiques liées à l'énergie et au développement durable. Si j'ai intégré l'ESME Sudria, c'est parce que je souhaitais travailler dans ce domaine. J'effectue donc une veille régulière sur les avancées dans ce secteur. C'est ainsi que, par le biais de la newsletter du Réseau français des étudiants pour le développement durable (REFEDD), j'ai découvert l'initiative The Big Conf'. Il s'agit d'un évènement national organisé par l'association Avenir Climatique, axé sur ces thématiques qui me sont chères. L'équipe organisatrice souhaitait mettre en place une conférence à l'échelle nationale. Dans une trentaine d'établissements d'enseignement supérieur, répartis sur tout l'Hexagone, des étudiants sont invités à présenter ces enjeux à leurs camarades. Le projet m'a tout de suite intéressé : c'était l'occasion d'en apprendre plus sur l'énergie et le climat et surtout, j'avais la possibilité de partager mes connaissances et mon expérience avec d'autres étudiants, de communiquer sur ces sujets.

Très vite, l'école m'a donné son feu vert pour organiser une conférence à l'ESME Sudria Paris-Montparnasse. J'ai particulièrement insisté auprès des étudiants de première et deuxième années car j'estimais qu'ils étaient les plus susceptibles d'être intéressés.

Comment as-tu mené à bien ce projet ?

Les conférences sont identiques à l'échelle nationale. J'ai présenté et animé la conférence de l'école. En amont, Avenir Climatique a organisé deux journées de formation. Ils nous ont donné quelques clés de présentation et d'expression orale et corporelle, ainsi que des outils sur lesquels s'appuyer.

La présentation se déroulait en trois temps : tout d'abord, j'ai redéfini précisément ce qu'était l'énergie et ses applications concrètes. Ensuite, j'ai montré que les ressources fossiles, les plus utilisées, étaient amenées à disparaître. Ces rappels, basiques, sont pourtant essentiels, puisque l'on a tendance à les oublier. Enfin, j'ai présenté des alternatives à notre consommation énergétique actuelle : avec des changements impactant peu notre mode de vie, nous pouvons drastiquement réduire notre dépendance aux énergies fossiles.

formation_bigconf.jpgUne des sessions de formation animées par Avenir Climatique

Quels ont été les retours ?

Le public a été très réceptif aux messages passés. Quelques étudiants sont venus en fin de conférence pour me féliciter du travail de vulgarisation accompli. Je leur ai donné les supports utilisés pendant la présentation pour qu'ils puissent les étudier plus précisément.

D'une manière plus générale, l'initiative nationale a été un succès : pour une première édition, nous avons réuni plus d'un millier d'auditeurs. Forte de ces résultats encourageants, Avenir Climatique organisera certainement un The Big Conf' en 2014. Si je ne suis pas en train d'étudier ou de travailler à l'étranger à ce moment, il y a de fortes chances pour je m'implique à nouveau dans le projet !

Symposium 2013 : découvrez les projets de nos étudiants

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Comme chaque année, les étudiants de l'ESME Sudria présenteront leurs travaux en recherche et développement à l'occasion du Symposium organisé par l'école. L'édition 2013 aura lieu jeudi 16 mai, de 14 h 30 à 18 h 30, dans les locaux de l'école à Ivry-Sur-Seine.

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L'excellence de l'ESME Sudria

Au cours de cette journée, les étudiants de 5e année des quatre différents laboratoires de l'ESME Sudria présenteront leurs projets les plus porteurs, représentatifs de la recherche à l'école.

Pour assister à ces différentes présentations, vous pouvez vous inscrire en ligne ici. Cette journée se conclura sur un cocktail.


Allier les domaines de la santé et de l'ingénierie, c'est possible à l'ESME Sudria !

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Etudiant en première année d'études de la santé (PAES), vous souhaitez vous réorienter tout en gardant un pied dans le milieu de la médecine ? Venez découvrir l'ESME Sudriaà l'occasion d'une réunion d'information s'adressant spécifiquement à vous. Elle aura lieu jeudi 30 mai, de 14 h à 18 h, dans les locaux de l'école à Paris Montparnasse.

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L'ESME Sudria, une école d'ingénieurs au service de la santé

Ecole d'ingénieurs pluridisciplinaire, l'ESME Sudria forme depuis plus d'un siècle celles et ceux qui font l'ingénierie de demain. Sa formation en cinq ans mène à de nombreux domaines d'expertise au cœur des problématiques et défis actuels. Aussi, les étudiants en PAES ont toute leur place au sein de la formation. Outre le fait qu'ils possèdent un bagage scientifique conséquent et qu'ils font preuve d'une force de travail nécessaire pour bien appréhender le cursus proposé par l'ESME Sudria, ils pourront également y mettre en application certains des enseignements spécifiques reçus lors de leur année de médecine, comme la thermodynamique.

L'imagerie médicale, une des spécialités de l'école

Par ailleurs, parmi toutes les voies de spécialisations possibles à l'ESME Sudria, l'école propose dans son cursus Recherche et Innovation une spécialité en Signaux et images en médecine particulièrement adaptée aux étudiants en PAES. Alliant ingénierie et santé, les promotions de la spécialité réunissent futurs ingénieurs et jeunes internes. Cette formation ouvre aux étudiants qui en sortent la possibilité de travailler en laboratoires et centres de recherche pour proposer des méthodes et une instrumentation originales, que ce soit pour améliorer les outils de diagnostic médical ou pour résoudre des problèmes posés par le nombre croissant de disciplines faisant appel à l'imagerie médicale.

Si d'aventure vous souhaitez rejoindre l'école, venez rencontrer l'équipe pédagogique et les étudiants de l'ESME Sudria lors de la réunion d'information à destination des étudiants en PAES organisée le 30 mai de 14 h à 18 h, au 40-42 Rue du Docteur Roux, Paris (15e). Si vous souhaitez y participer, merci de vous y inscrire par mail.


Découvrez le témoignage de Mathieu Ataes (ESME Sudria promotion 2016), ancien étudiant en PAES qui a choisi de se réorienter vers l'ingénierie.

La Chine, nouvel Eldorado pour les étudiants

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Comme une dizaine d'étudiants de sa promotion (dont Olivier Antunes), Claire Magne (ESME Sudria promotion 2015) effectue son semestre obligatoire à l'étranger à la Shanghai Jiao Tong University (Chine). Pendant son séjour, elle a eu l'occasion d'assister à l'intervention du président François Hollande, en déplacement à Shanghai pour signer, entre autre, un contrat de partenariat entre la France et la Chine.

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Des études au cœur de la deuxième puissance mondiale

Comme nombre de ses camarades de promotion, Claire étudie au sein de la Shanghai Jiao Tong University (SJTU), réputée être la plus prestigieuse et sélective université de Chine. Une expérience nouvelle pour cette globetrotteuse : « Comme je suis germanophone, j'ai effectué mon stage de première année en Allemagne. L'année dernière, c'est dans une entreprise américaine que je suis allée travailler. Et donc cette année, j'effectue mon semestre international obligatoire en Chine ! La Chine, par sa croissance, son poids économique, politique et culturel, est en train de devenir un acteur international majeur.»

Pendant son séjour, elle a eu l'occasion de voir le président François Hollande, venu sur le campus signer une convention de partenariat entre quelques grandes écoles françaises et l'université chinoise. « Il semble inévitable que le pays joue un rôle essentiel dans l'éducation et l'enseignement, estime Claire. La signature de ce partenariat va dans ce sens et je suis heureuse de pouvoir étudier dans une université du calibre de celle de Shanghai Jiao Tong.» Notons que la SJTU est à l'origine du célèbre classement de Shanghai qui chaque année recense les cent meilleurs établissements d'enseignement supérieur du monde.

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La découverte d'une autre culture

« Même si l'essentiel du cursus est focalisé sur l'informatique, cette expérience est sans aucun doute une valeur ajoutée à mon parcours, affirme Claire, qui envisage de faire carrière dans le secteur des énergies. D'une part parce que, comme je l'ai dit, la Chine est un acteur économique et industriel incontournable. D'autre part parce qu'à n'en pas douter, la culture chinoise va être de plus en plus importante à l'échelle internationale.» Aussi, elle suit des cours de mandarin depuis l'année dernière (renforcés cette année par des sessions de trois heures de pratique par semaine) et a eu l'occasion de visiter quelques villes incontournables comme Xi'an ou Hangzhou.

Et après ? « J'espère pouvoir effectuer ma dernière année en Allemagne afin de valider un double-diplôme reconnu tant en France qu'Outre-Rhin», déclare cette infatigable voyageuse.

L'association Sudriabotik remarquée à la Coupe de France de robotique

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La vingtième édition de la Coupe de France de robotique avait lieu du 8 au 11 mai à La Ferté-Bernard (Sarthe). Sudriabotik, l'association de robotique de l'ESME Sudria, faisait partie des quelques 172 équipes en lice (voir note précédente) : le groupe mené par Quentin Mercier (ESME Sudria promotion 2016), président de Sudriabotik, se hisse à latreizième place et accède aux phases finales. Retour sur l'évènement.

Un des matchs de Sudriabotik pendant la compétition

Entre stress et détente

« Ce classement est une fierté pour l'association, pour les membres qui se sont impliqués, pour les anciens et pour l'école, commence Quentin Mercier, enthousiaste. Mais ça ne représente pas que ça. Grâce à ce résultat, nous espérons pouvoir mener une campagne de communication importante autour de l'association.» Le président de l'association est d'autant plus fier de son équipe qu'elle s'est distinguée dans des conditions parfois difficiles : « Evidemment, il y a quelques moments de stress où la concentration doit être optimale, notamment lorsque l'on doit effectuer une réparation rapide entre deux matchs ou quand un élément des robots nous lâche. Dans ces situations, l'atmosphère peut être tendue. Mais c'est aussi l'occasion pour les membres ayant rejoint Sudriabotik récemment d'apprendre de nouvelles manipulations dans l'urgence.»

Mais cette compétition était surtout l'occasion d'affronter d'autres passionnés de robotique dans une ambiance chaleureuse : « Durant ces quatre jours de compétition, il y avait vraiment moyen de s'amuser. Entre les jeux organisés par le staff organisateur de l'évènement ou ceux des associations, les soirées et surtout la compétition off pendant laquelle d'autres robots peuvent s'affronter lors de combats de sumo, de courses ou de chorégraphies, tout se déroule dans un esprit bon enfant.»

A la recherche de nouveaux partenaires

Ce bon résultat ouvre de nouvelles perspectives pour l'association : « Grâce à notre classement, nous allons pouvoir démarcher de nouveaux sponsors pour participer à davantage de tournois. Pour l'heure, nous sommes soutenus par l'ESME Sudria évidemment, mais aussi par la société SPCI et Elsys Design, sans qui rien de tout cela n'aurait été possible. Nous tenons également à remercier les anciens de l'association pour leurs conseils et leurs retours d'expérience. Cette victoire est autant la nôtre que la leur. Nous espérons également recruter de nouveaux membres au sein de l'association, notre performance montrant que même une équipe constituée de première et deuxième années peut se hisser parmi les meilleurs.»

Le thème de la prochaine Coupe de France de robotique tournera autour de la préhistoire, en 2014. Rendez-vous en septembre pour connaître précisément les spécificités du tournoi. D'ici là, si vous souhaitez vous investir dans Sudriabotik, vous pouvez contacter l'association par mail.

Le Symposium Recherche et Développement 2013 de l'ESME Sudria

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Comme chaque année, les futurs ingénieurs de cinquième année présentent leurs meilleurs projets à l'occasion du Symposium. Il s'est tenu le 16 mai dans les locaux de l'école sur le campus Paris-Sud. Fruit d'une année de labeur et d'innovation constante, ces présentations, faites devant un panel d'entrepreneurs et d'industriels, étaient l'occasion pour les étudiants de faire démonstration de leurs talents pour la recherche appliquée. Au total, quinze projets sont présentés au public pour les quatre laboratoires de l'école.

Le Symposium R&D est l'occasion pour tous les étudiants de cinquième année de présenter leurs projets internes de recherche, parfois couplés avec leur stage de fin d'étude, développés dans les laboratoires de l'école sous la responsabilité d'enseignants-chercheurs ou de professeurs. Les quatre laboratoires de l'école ont ainsi aligné une quinzaine de projets très différents, représentatifs de l'étendue des compétences enseignées à l'ESME Sudria.

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Des robots autonomes

Le laboratoire Energies et Systèmes, dirigé par Karim Aït Abderrahim, a présenté cinq projets, parmi lesquels « La meute de robots autopilotés», soumis par Maxime Cohen, Alexis Dahan et Arthur Heller : les capteurs de lumière et infrarouges dont sont équipés les robots mis au point par le trinôme leurs permettent de se déplacer indépendamment les uns des autres, sans risque de collision. Les développements futurs envisageables pour ces prototypes sont très variés, allant de la domotique à la défense.

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Des tickets virtuels pour gérer le réseau

Le projet SMICA (Service Management ITIL Compliant Application), proposé par Louis Guillot, Richard Koehl et Vincent Plociennik pour le laboratoire Ingénierie des Systèmes de Traitement de l'Information (sous la direction de Sébastien Herry), consiste en une application web à destination des PME et PMI. A l'instar des utilitaires de suivi d'anomalies réseaux, logicielles ou autres, SMICA propose un service de tickets virtuels permettant aux utilisateurs, techniciens et administrateurs de mieux gérer le flux des demandes. SMICA se distingue de ses concurrents en proposant une interface très claire et ergonomique, adaptée aux usagers peu impliqués dans l'informatique.

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Accompagner la fonction publique

Parmi les trois présentations faites par les étudiants issus du laboratoire Réseaux et Télécommunications dont Patrick Devriendt est responsable, le projet « WiFi : QoS et sécurité» a été mené par Quentin Goethals, Stéphane Keo et Ganèche Manoharane, en collaboration avec l'entreprise de système de sécurité et de défense Cassidian-EADS. Il répond à une demande des opérateurs en sécurité publique (police, gendarmerie, secourisme...) qui souhaitaient adosser la qualité de service et la sécurité proposée par les réseaux WiFi (généralement privés) aux réseaux mobiles LTE (qui sont la norme en matière de téléphonie mobile) dans le cadre de leurs opérations.

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Un nouveau système d'exploitation

Le laboratoire Systèmes Embarqués et Electronique (dirigé par Christian Touseau) présentait quatre projets. Celui proposé par Adrien Guisse, Ludovic Krafft et Victor Liautaud, encadré par la société ESG France, intitulé « Tizen», consiste en l'utilisation embarquée à bord d'automobiles d'un tout nouveau système d'exploitation informatique libre.

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Organisé chaque année à l'image d'un congrès scientifique, le Symposium est un moment unique dans la scolarité des étudiants de l'ESME Sudria, l'aboutissement de leurs projets de fin de cinquième année. Pour les professionnels présents, c'est l'occasion d'envisager des partenariats ou des recrutements.


Roger Ceschi, directeur général de l'ESME Sudria

Le Symposium est une manifestation importante pour l'école à plus d'un titre.

En premier lieu, pour les élèves de dernière année qui ont été sélectionnés pour présenter leurs travaux. La plupart d'entre eux sont aujourd'hui en stage en entreprise. Les travaux présentés ont été réalisés dans le cadre d'un projet au sein de l'école, par trinôme, dans l'une de ses dominantes. Nous sélectionnons ces projets sur certains critères, notamment ceux faisant état d'innovation évidente.

Lors de cet évènement, le travail de l'élève est mis en avant. La présentation du projet devant ses pairs prend la forme d'une soutenance de très bonne tenue, durant laquelle sont invités tous les étudiants de quatrième et cinquième années, des industriels, des anciens élèves et des partenaires de l'école. Ainsi chaque invité peut apprécier le travail fourni, leurs présentations, leurs motivations, leurs fiertés et leurs envies de présenter leurs résultats. Le niveau est très bon et ce Symposium constitue une sorte de prélude au diplôme qu'ils recevront à la fin de l'année scolaire. Enfin, cette manifestation permet aussi de montrer ce dont nos étudiants sont capables.

En second lieu, c'est également une satisfaction pour l'école elle-même et son personnel dans son ensemble car chacun à son niveau peut ainsi mesurer l'écart entre ces mêmes élèves lors de leurs intégrations il y a cinq ans et aujourd'hui.

Que nos partenaires industriels se rassurent, la nouvelle cuvée est bonne...

L'ESME Sudria Lyon à la centrale du Bugey

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Le 3 avril, les étudiants de l'ESME Sudria Lyon ont eu l'occasion de visiter le site de la centrale nucléaire du Bugey (Ain), un des dix-neuf sites de production d'électricité à partir de combustible nucléaire en France. Jérémie Bartak (ESME Sudria promotion 2017) revient sur cette sortie.

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©Wikicommons

Pourquoi l'école a-t-elle organisé cette visite ?

La centrale se situe à une trentaine de kilomètres de Lyon. S'y rendre n'était donc pas trop contraignant pour les 33 étudiants que compte la première promotion lyonnaise. Par ailleurs, comme l'une des spécialités de l'ESME Sudria est l'ingénierie des énergies, cette visite semblait tout à fait appropriée. Enfin, l'équipe encadrante de l'école travaille de près avec les entreprises de la région, permettant à des initiatives comme celle-ci de voir le jour.

En quoi a-t-elle consisté ?

La visite s'est déroulée en trois temps. Nous avons d'abord découvert le site en lui-même : les réacteurs, les bassins de refroidissement, les infrastructures de sécurité... Nous avons ensuite assisté à une conférence sur le fonctionnement de la centrale, sur les enjeux du nucléaire et sur le retraitement. J'y ai notamment appris que certains processus permettaient de réutiliser certains déchets nucléaires afin d'en tirer un peu d'énergie. Enfin, comme il nous restait du temps, nous avons pu échanger de manière un peu plus informelle sur les enjeux énergétiques en général et des innovations du secteur. Nous avons parlé de l'énergie hydraulique (notamment des turbines marines qui utilisent l'énergie des vagues), des panneaux solaires chez les particuliers (et du système de rachat par EDF de l'énergie produite par ces particuliers)...

Que retiens-tu de la visite ?

D'ici trois ans, je souhaite rejoindre le laboratoire Energies et Systèmes de l'école. Cette visite était donc une opportunité unique d'entrevoir le monde du nucléaire. Pour l'heure, en première année, les programmes sont très théoriques. Cette initiative entre donc en complément de notre cursus et nous permet même, dans une certaine mesure, de prendre de l'avance sur nos études.

Swing gagnant pour deux étudiants

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François Bour et Guillaume Dubois (ESME Sudria promotion 2017) ont terminé deuxième lors de l'étape parisienne de la neuvième édition du Trophée Etudiant FFGolf Société Générale (qui avait lieu les 18 et 19 mai), l'un des plus prestigieux tournois de golf étudiant du pays. Retour avec Guillaume sur cet évènement et ce sport finalement peu connu du grand public.

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Comment vous êtes-vous préparés à la compétition ?

L'inscription à la compétition était réservée à des golfeurs ayant un classement inférieur à 36,4 (a priori, plus le classement est bas, meilleur est le joueur). Comme je suis classé 4,2 et que François est 7,3, ça ne posait pas de problème. La formule de jeu mise en place à l'occasion de ce Trophée Etudiant FFGolf Société Générale s'appelle le « scramble à deux». Contrairement aux compétitions traditionnelles, là, nous jouions l'un avec l'autre : chacun jouait son coup, puis le meilleur coup frappé sera conservé et servira de nouveau point de départ.

Comme le bureau des sports de l'école ne dispose malheureusement pas de structure propre dédiée au golf, nous nous sommes entraînés sur le parcours en suivant ces formules de jeu particulières imposées par le trophée, pour nous adapter évidemment, mais également pour voir comment nous réagissions à la pression, même sans enjeu.

Le Trophée se déroulait sur le site du Golf National, à Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines), sur les parcours Aigle et Albatros (où se disputera la Ryder Cup 2018, un trophée de golf international majeur opposant Europe et Etats-Unis).

Nous ne nous attendions pas à atteindre un tel niveau dans le classement final. Le niveau de certains de nos adversaires était particulièrement élevé (certains avaient un classement négatif, largement supérieur aux nôtres) et les conditions météorologiques n'étaient pas au beau fixe. Pour notre première participation, nous sommes donc fiers d'avoir pu hisser les couleurs de l'école à cette deuxième place !

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Comment as-tu été amené à pratiquer le golf à haut niveau ?

Quand j'étais plus jeune, je jouais au rugby. Mais j'ai été contraint d'arrêter cette activité. Souhaitant poursuivre la pratique du sport, je me suis donc tourné vers le golf il y a six ans, après un stage estival qui m'avait beaucoup plu. Je me suis donc inscrit en club et j'ai commencé à consacrer mes après-midi de libres, mes week-ends et mes vacances au golf. En parallèle, mon père s'est remis à golfer et est devenu mon partenaire de jeu. Ca m'a motivé d'autant plus.

En intégrant l'ESME Sudria en septembre, j'avais entendu parler du golf universitaire, mais ne m'y étais pas plus intéressé que ça. François m'a alors parlé du Trophée Etudiant FFGolf Société Générale, réservé aux personnes étudiant en établissement d'enseignement supérieur.

Allez-vous continuer à pratiquer le golf en parallèle à vos études ?

J'arrive à concilier pratique sportive de haut niveau et études poussées grâce à une organisation rigoureuse, un travail régulier et une planification stricte : je m'entraîne les samedis après-midis (les compétitions ayant généralement lieu les dimanches). En dehors de ces plages réservées au golf, j'étudie et je travaille sur mes cours.

Je compte bien poursuivre dans le circuit golfique étudiant, d'autant plus que j'ai découvert l'existence du championnat universitaire individuel auquel j'espère participer l'année prochaine. Enfin, je souhaite concourir à nouveau au Trophée Etudiant FFGolf Société Générale, avec François si possible, afin que nous puissions y inscrire un jour le nom de l'ESME Sudria !

Remise des titres de la promotion 2012

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Samedi 19 avril, l'ESME Sudria remettait leurs titres d'ingénieurs aux étudiants de la promotion 2012. La cérémonie se déroulait à l'Unesco (Paris), en présence des équipes de l'école et des familles des diplômés. Retour sur cette journée forte en émotions, en compagnie Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité chez Microsoft France et parrain de cette promotion 2012 et des nouveaux diplômés de l'ESME Sudria.


Denis Klein et les enjeux de la transmission de connaissance

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Dans le cadre des Jeudis de l'ingénieur, l'école a accueilli Denis Klein (ESME Sudria promotion 1975), ancien vice-président de Siemens SAS, le 25 avril. En compagnie d'Aimé Merran, directeur des études du cycle bachelor de l'école, il est revenu sur le rôle de l'ingénieur et l'importance de la transmission des savoirs.

Selon lui, un ingénieur doit se mettre au service de la société. En créant, en analysant, en proposant des ruptures avec les technologies actuelles, il construit le monde de demain. C'est pourquoi il est primordial qu'il sache apprendre et soit prêt à apprendre toute sa vie. La transmission des compétences doit être pensée dans la pratique : il faut pouvoir canaliser les compétences sur ce qui est réalisable.


Les Jeudis de l'ingénieur sont des conférences mensuelles organisées les derniers jeudis de chaque mois sur le campus Paris Montparnasse de l'ESME Sudria, qui accueillent des personnalités marquantes, dans les champs scientifique, économique ou managérial.

Retour sur l'ESME Lab's Week 2013

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Du 15 au 18 avril, l'école organisait l'ESME Lab's Week : une semaine de conférences animées par des professionnels et des industriels venus présenter les innovations technologiques et les métiers de leurs secteurs.

Chaque journée était consacrée à l'une des quatre grandes majeures de l'école : Ingénierie des systèmes de traitement de l'information, Systèmes embarqués et électronique, Energies et Systèmes et Réseaux et télécommunications. Ces conférences sont essentielles à deux titres : pour les étudiants, qui découvrent les majeures qu'ils vont intégrer l'année suivante et ont ainsi un aperçu de ce qui va les attendre ; pour les professionnels, qui peuvent faire un point sur l'actualité technologique et échanger avec ceux qui deviendront dans un futur proche leurs collaborateurs.

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Horloge mécanique à l'ESME Sudria Lille

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Durant leur cursus, les étudiants en première année de l'ESME Sudria Lille ont eu l'occasion de fabriquer une horloge. Projet mené sous la responsabilité de Johan Verstraete, professeur de sciences pour l'ingénieur et d'électricité/électromagnétisme à l'école et en collaboration avec le FabLab Lille, il s'agit du premier grand travail collaboratif de l'école. Arthur Parleman (ESME Sudria promotion 2017) y a participé.

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Pourquoi avoir choisi de concevoir une horloge ?

Dès le départ, les étudiants de l'ESME Sudria Lille souhaitaient mettre en place au sein même de l'école un fablab, pour créer un robot. Comme les démarches ont mis un peu de temps et que la conception d'un tel robot, à notre niveau, était compliquée (manque de matériaux, complexité technique), nous nous sommes orientés vers autre chose. Lors des cours donnés par Johan Verstraete, nous avions étudié le dispositif mécanique de la Croix de Malte. Comme ce type d'engrenage est utilisé dans l'horlogerie traditionnelle, nous nous sommes alors lancés dans la conception d'une horloge mécanique.

Johan Verstraete nous a suivi et accompagné dès le départ. C'est grâce à lui que nous avons pu disposer des compétences et des moyens techniques du FabLab Lille. La conception même de la machine est entièrement le fruit des étudiants. Il n'est intervenu que pour nous conseiller lorsque nous faisions face à des difficultés techniques particulièrement complexes.

Quelles difficultés particulières avez-vous pu rencontrer lors de la conception de l'horloge ?

Lors de la conception initiale de l'horloge, nous avons utilisé le logiciel de conception 3D SolidWorks, qui nous permet de projeter les pièces dont nous allons avoir besoin et voir leurs interactions. Le seul problème, c'est que les objets créés par le logiciels sont « parfaits » et ne prennent pas forcément compte des contraintes comme les frottements, la solidité des matériaux et l'usure des pièces. Nous avons donc dû nous adapter au fur et à mesure (l'horloge disposant d'un mécanisme en bois).

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En quoi ce premier projet est important dans le cadre de vos études ?

Lors du projet, nous avons pu mettre en application directe certains principes étudiés pendant les cours de sciences pour l'ingénieur. En disposant du matériel prêté par le FabLab, nous avons également bénéficié d'un accompagnement méthodologique important.

Personnellement, je souhaite pour le moment m'orienter vers l'ingénierie commerciale. Cette discipline implique une connaissance importante des produits sur lesquels on travaille pour pouvoir les améliorer. Ce premier projet, où nous avons été amené à nous investir pleinement m'a donc permis de comprendre comment théorie et applicatif peuvent s'articuler.

Le nouveau IONISMag est sorti

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Le numéro 22 du magazine de IONIS Education Group vient de sortir.

Au sommaire de cette nouvelle édition :

  • La Génération Z : qui est-elle ?
  • Retour sur l'Université de la Terre : « le meilleur est à venir ».
  • « Apprendre » sous toutes ses formes : découvrez les différentes conférences organisées par les écoles.
  • Le GRiiSG, le laboratoire de l'ISG au service de la gestion et du management.
  • Les remises des titres et des diplômes des promotions 2012.

Bonne lecture !

Julien Sayed, ingénieur de tous les horizons

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Julien Sayed (ESME Sudria promotion 2013) est entré à l'ESME Sudria en troisième année, pour bénéficier « d'une formation de qualité, en adéquation avec les attentes des industriels». Depuis mai, il effectue son stage de fin d'études chez Alstom. Particularité : le site sur lequel il travaille se trouve en Estonie.

forteresse_narva.jpgLa forteresse de Narva (Estonie)

Comment as-tu trouvé ce stage ?

Grâce aux intervenants et au réseau des Anciens de l'école, les étudiants disposent de nombreux contacts pour chercher et trouver des stages innovants et intéressants. C'est ainsi que j'ai trouvé mon poste à Alstom : un professeur m'a permis d'entrer en contact avec l'entreprise ; on m'a présenté les missions et proposé d'effectuer ce stage couplé à un Volontariat international en entreprise (VIE). En accord avec l'école, je vais rester en Estonie jusqu'en mai 2014.

Je savais que je serai amené à travailler en Estonie, pays que l'on connaît finalement mal. Cela m'a donné le temps de me préparer et m'informer sur ma destination. Parce qu'en plus d'une expérience professionnelle de qualité, je souhaite vivre une aventure humaine et culturelle à part entière.

En quoi consiste ton stage ?

Je suis assistant manager construction électrique sur un chantier de centrale thermique, à Narva, dans l'Est de l'Estonie. Je dépends du département électrique qui prend en charge l'intégralité de la construction. A ce poste, j'aide à la supervision des travaux du chantier. Les équipes que je suis nous font essentiellement part des différents problèmes rencontrés. Il y a un important travail de coordination entre les différents départements concernés, du génie civil à la tuyauterie en passant par les services financiers ou la mécanique.

J'ai également pour mission de réaliser un état des lieux hebdomadaire sur l'avancement des travaux électriques, de réaliser et mettre à jour les plannings des différentes équipes et d'effectuer certaines tâches administratives. J'associe des compétences d'ingénierie très techniques à des connaissances plus pratiques et managériales, en accord avec les attentes des entreprises aujourd'hui.

estonie_centrale.JPGChantier de la centrale thermique de Narva

Qu'as-tu pu découvrir sur place ?

Avant mon départ, je ne connaissais absolument rien de l'Estonie. Dans la région où je travaille, près de 90 % de la population est russe (la frontière avec la Russie est très proche). Pour l'instant, je suis donc plus imprégné de cette culture russe (je commence d'ailleurs à apprendre la langue) que de la culture estonienne.

Je découvre de nouveaux paysages, un nouveau mode de vie... Du fait de sa position géographique, je peux également me rendre facilement à Tallin (capitale de l'Estonie) ou à Saint-Pétersbourg (Russie).

Cette année à venir s'annonce très intéressante, l'expérience de vie en immersion dans un pays très différent de la France étant pour l'heure très satisfaisante. Cela me prépare également à ma future carrière professionnelle, puisque j'envisage de commencer en travaillant à l'International. Cette première mise en bouche semble donc optimale...

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