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Channel: Blog de l'ESME - Ecole des ingénieurs de l'innovation responsable
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Envie de rejoindre l'ESME Sudria ? Participez au chat du Concours Advance le 26 novembre pour poser toutes vos questions !

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Participer au Concours Advance lorsqu'on est lycéen(ne) et qu'on prépare un Bac S ou STI2D, c'est mettre toutes les chances de son côté pour rejoindre une école d'ingénieurs dans des secteurs d'avenir parmi l'EPITA, l'ESME Sudria et l'IPSA. Ce concours offre en effet 940 places, réparties dans 7 campus, comptant pour un seul et même choix durant la procédure APB. Pour répondre à vos interrogations, l'équipe du Concours Advance organise une première session de chat online le mercredi 26 novembre de 17 h à 19 h. Fonctionnement du concours, modalités de participation, débouchés, salaire à la sortie de l'école, place de l'anglais, contenu des cursus... n'hésitez pas à poser toutes vos questions !


Si vous recherchez d'autres informations sur le Concours Advance, consultez le site www.concours-advance.fr. Sur celui-ci, vous pouvez vous entraîner en ligne, télécharger les annales et recevoir des conseils afin d'optimiser vos chances de succès. Vous pouvez également retrouvez les questions-réponses des chats organisés.

www.concours-advance.fr

Retrouvez aussi le Concours Advance sur Facebook, Twitter et Google Plus.


Khaled Draz, directeur général de CS Systèmes d'Information, invité des Mardis de l'ingénieur, le 2 décembre, à l'ESME Sudria Paris-Sud Ivry

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Pour aborder quelle peut être la meilleure stratégie d'entreprise en matière d'innovation technologique pour les entreprises de taille intermédiaire (ETI), l'ESME Sudria invite Khaled Draz, directeur général de CS Systèmes d'Information, le 2 décembre pour une nouvelle édition de son cycle de conférences Les Mardis de l'ingénieur.

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Lorsqu'il s'agit de parler d'entreprises, les médias généralistes citent régulièrement les grands groupes, des PME ou des TPE. Trop souvent oubliées, les entreprises de taille intermédiaire (ETI) sont pourtant considérées aujourd'hui comme les locomotives de la croissance en France et en Europe. Preuve, s'il en est : l'intérêt (et soutien) de plus en plus important de la Banque européenne d'investissement (BEI) et de la Banque publique d'investissement (Bpifrance) pour ces acteurs au cœur de la reprise économique. Portées sur l'innovation et l'International, ces structures doivent apprendre à se développer en associant innovation et stratégie organisationnelle. Spécialisé dans les systèmes d'information et connaisseur des problématiques auxquelles doivent répondre les ETI, Khaled KRAZ partagera son expérience d'ingénieur et son expertise des grands secteurs technologiques, notamment dans les domaines de la défense, de la sécurité, de l'espace, de l'aéronautique et de l'énergie.

A propos de Khaled Draz :
Diplômé de l´École Polytechnique et de l´École Nationale Supérieure des Télécommunications, Khaled Draz débute sa carrière en 1984 chez Alcatel comme ingénieur de développement logiciel. En 1988, il rejoint le Groupe Thales, où il occupe pendant 9 ans plusieurs postes managériaux dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TiC). De 1997 à 2003, Il intègre CS Communication & Systèmes pour assurer la direction de la division Systèmes, puis celle de la division Réseaux. En 2000, en tant que directeur général adjoint du Groupe CS, il dirige l´ensemble des activités Intégration de Systèmes puis la stratégie et le business development. De 2003 à 2006, il occupe le poste de directeur général France de la SSII Getronics. De 2007 à 2012, en tant que président-directeur général d'Euriware, il conduit un vaste programme de transformation stratégique avant d'être nommé directeur d'Areva Moyen-Orient. Depuis 2013, il est directeur général de CS Systèmes d'Information.
Khaled Draz a été, par ailleurs, administrateur de Syntec Numérique, co-président de la Commission Développement Durable (2007 à 2010) ainsi qu'auditeur à l'Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale (IHEDN).

Les Mardis de l'ingénieur avec Khaled Draz
Thématique : « Stratégie d'entreprise et innovations technologiques : les enjeux d'une entreprise de taille intermédiaire »
Le 2 décembre, de 18h30 à 20h, à l'ESME Sudria Paris-Sud Ivry.
38 rue Molière
94200 Ivry-sur-Seine
Contacts : communication@esme.fr - 01.56.20.62.48


Les Mardis de l'ingénieur sont un cycle de conférences à destination des futurs ingénieurs formés par l'ESME Sudria. L'école accueille une personnalité importante notamment dans les champs scientifique, économique ou managérial. Ces échanges sont l'occasion pour les étudiants de mieux appréhender la place qu'ils occuperont dans les entreprises, où dynamisme et innovation sont de mise. Retrouvez la dernière conférence de Vincent Cottenceau (ESME Sudria 1999), commandant de l'Armée de terre.

IONIS Education Group en veille contre le sida : les campus de l'ESME Sudria répondent à l'appel

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Depuis huit ans, au mois de novembre, les écoles de IONIS Education Group s'engagent chaque année contre le sida à travers différentes actions afin de récolter des fonds et aider à combattre cette maladie malheureusement toujours d'actualité. Les différents campus de l'ESME Sudria participent également à l'événement.

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À Paris, le Bureau des Étudiants coordonne des actions de récoltes de fonds et une campagne de sensibilisation avec, notamment, la mise en place de stands de ventes de friandises ainsi que la distribution de préservatifs et de documentations portant sur la prévention. À Lyon, le BDE du campus s'associe à celui de l'ISEG Group pour vendre des rubans du Sidaction et distribuer lui-aussi des préservatifs gratuitement aux étudiants en plus de faire mettre en œuvre un quizz sur cette maladie avec des lots à gagner. Et si, à Lille, un petit-déjeuner et un déjeuner organisés par l'ESME Sudria et e-artsup ont déjà eu lieu ce lundi pour récolter des fonds en faveur de l'Association Dunkerquoise de lutte contre le sida (ADIS), le programme se poursuit avec la vente de porte-clés collectors ! Créés par l'e-Smart Lab, l'atelier de fabrication numérique commun à l'ESME Sudria Lille et e-artsup Lille, avec un design conjointement réalisé par des étudiants des deux écoles, les porte-clés vendus permettront à l'ADIS de bénéficier encore davantage de moyens pour lutter contre la maladie. Bravo à eux !

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Quand l'innovation sociale s'invite à l'ESME Sudria Lille : 3 questions à Arnaud de Champsavin, organisateur de la Social Cup, la coupe de France de l'entrepreneuriat social étudiant

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À la fin du mois d'octobre se tenait une conférence sur « l'innovation sociale et les nouvelles technologies » au campus lillois de IONIS Education Group. L'occasion pour les étudiants l'ISEG Group, d'e-artsup et de l'EMSE Sudria, pour certains déjà impliqués dans l'action sociale avec l'association IDÉES Madagascar, d'en apprendre davantage sur cette tendance qui fait naître de plus en plus de projets ambitieux, en France comme à l'étranger. Arnaud de Champsavin, auteur de la conférence et organisateur pour MakeSense de la Social Cup, la coupe de France de l'entrepreneuriat social étudiant, nous en dit plus.

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Qu'est-ce que l'innovation sociale ?
L'innovation sociale, c'est comment trouver des nouveaux leviers et de nouvelles manières pour répondre à des enjeux de société. Contrairement aux entreprises classiques, l'entreprise sociale va chercher à répondre à un besoin de société en lieu et place d'un besoin de marché. Cela peut-être la précarité, l'éducation, la « malbouffe », etc. Autre différence : l'entreprise sociale s'engage à ne pas avoir d'actionnaires et à reverser tous les bénéfices de son activité dans cette dernière. C'est-à-dire que si l'entreprise génère du profit - qui est l'une de ses caractéristiques, en plus de ne pas être dépendante de subventions publiques -, elle va s'engager à le reverser pour la résolution de son enjeu social.

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En France, le marché des entreprises sociales est-il important ?
Si, chez MakeSense, on accompagne des start-ups qui en sont à leurs débuts, on se rend compte que cette préoccupation pour l'impact social est en plein boum. Il y a un intérêt croissant de la part des futurs travailleurs et consommateurs, ce qui se traduit par des programmes dédiés dans les grandes écoles et de la part des pouvoirs publics. Le secteur de l'ESS, l'économie sociale et solidaire, est bel et bien un secteur en très forte croissance, en plus d'être une spécificité nationale par certains égards. Les banques et autres organismes financiers s'y intéressent de très près !
Cela impacte aussi certaines grandes entreprises qui démontrent un réel intérêt pour développer en interne une sorte d'écosystème d'entrepreneuriat social. Un bon exemple, c'est Danone qui, avec Communities, créé des communautés où des collaborateurs et des entrepreneurs peuvent partager leurs connaissances et leurs bonnes pratiques. L'autre grande tendance, c'est le social business, quand une grande entreprise s'associe avec une start-up ou une association pour réaliser ensemble une mission sociale prenant la forme d'une joint-venture. Le cas le plus parlant, c'est celui de Grameen, du Nobel de la paix 2006 Muhammad Yunus, qui a pu développer ses activités économiques grâce à de grandes entreprises.

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Quelle est la place des ingénieurs dans cette évolution ?
Comme tout type d'entrepreneuriat, l'entrepreneuriat social est porté par des innovations et des avancées technologiques. Ce sont les technologies qui apportent des opportunités, pas l'inverse. Le numérique est donc au cœur de cette évolution, avec la possibilité de rapprocher les consommateurs des producteurs, de connecter des objets, etc. L'ingénieur est là pour développer tout ça : en réalisant ces nouveaux objets, en les programmant, il se trouve même au cœur de l'innovation sociale.

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De Bangkok à Paris : l'incroyable aventure cycliste de Victor Liautaud (ESME Sudria promo 2013)

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En début d'année, Victor Liautaud (ESME Sudria promo 2013) et son ami d'enfance Timothée avaient une idée folle en tête : réaliser le trajet Bangkok-Paris en tandem pour médiatiser et aider l'association humanitaire Enfants du Mékong. Après six mois d'aventure, d'imprévu et presque autant de kilomètres parcourus que de souvenirs emmagasinés, le duo a enfin terminé ce fameux Projet Libellule en posant ses roues dans la capitale française le 21 octobre. Retour sur un périple sportif fort en émotions.

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Timothée et Victor

Tu as parcouru 16 000 kilomètres, dont près de 10 000 à vélo, en quasiment six mois. Pas trop crevé ?
Pas du tout ! Justement, ce qui est drôle, c'est qu'on pense qu'on va revenir fatigué d'un voyage comme celui-là alors qu'on revient en pleine forme : cela fait six mois qu'on fait du sport tous les jours.

La dernière fois qu'on parlait de toi sur le site de l'ESME Sudria, c'était au moment où ton duo s'apprêtait à traverser la Chine en remontant le Mékong. Que s'est-il passé depuis ?
On a dû malheureusement se séparer de notre tandem. Ce dernier avait plus de 10 ans et connaissait pas mal de soucis mécaniques : ses pneus ne faisaient que de se déchirer ! On a finalement réussi à pédaler jusqu'au Nord du Laos où on a commencé à chercher toutes les solutions possibles pour le « sauver » mais on s'est vite rendus compte que c'était impossible... Timothée est alors descendu à Bangkok pour renvoyer le tandem en France quand, de mon côté, je partais à Kunming en Chine en bus de nuit pour acheter deux nouveaux vélos ; ceux-là mêmes qui nous ont permis de rentrer en France.

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Le fait de passer du tandem à deux vélos a-t-il changé votre itinéraire de départ ?
Non, pas du tout. Ce qui nous faisait changer d'itinéraire, c'était les rencontres que nous faisions au fur et à mesure du trajet, que ce soit sur la route ou lors de nos pauses. On est donc passés par le Yunnan, la région culturelle du Tibet. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'en Chine, la région administrative du Tibet est assez « petite » alors qu'elle représentait quatre fois sa taille actuelle il y a quelques années. De ce fait, lorsqu'on est dans la province du Yunnan et du Sichuan, on baigne complétement dans la culture du Tibet. Là-bas, on a pédalé dans les montagnes himalayennes, en passant des cols à plus de 4 000 m d'altitude - notre hauteur maximum a été de 4 800 m !

Comment se passaient justement ces rencontres faites lors de votre périple ?
Il y avait des gens curieux qui venaient voir ce qu'il se passait mais aussi, et ce fut souvent le cas en Asie Centrale, des personnes qui nous interpellaient sur le bord de la route et nous invitaient à déjeuner, dîner ou à dormir chez eux. Ça, c'était vraiment quelque chose de fantastique : dans toute l'Asie Centrale, c'est-à-dire le Kazakhstan, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan, il y a un accueil du voyageur qui est inconditionnel ! Idem pour l'Iran. Dans ces pays où la culture de l'Islam est très forte, le voyageur est considéré comme un « cadeau de Dieu » à ce qu'on nous a dit. En toute simplicité, les gens vous offrent alors leur temps et vous accueillent chez eux comme des princes.

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Tu t'attendais à un tel accueil ?
Ayant un petit peu voyagé, j'avais déjà pu voir des gens très hospitaliers. Mais à ce point-là, c'était vraiment surprenant. Si tu proposes de les aider, ils te font bien comprendre qu'ils s'occupent de tout. C'était vraiment fabuleux et même si des difficultés de langue existaient, on trouvait toujours un moyen de se faire comprendre par les gestes ou avec un terme en anglais, français ou russe. Il y a eu de très beaux échanges qui nous ont permis de mieux comprendre l'histoire des pays traversés. On a réussi à toucher du doigt certaines cultures et religions. C'est marquant.

Avais-tu une appréhension avant de pénétrer dans un pays comme l'Iran, qui ne jouit pas forcément de la meilleure des réputations ?
Je ne peux pas dire non car, quand on entend en France parler de l'Iran ou de certains pays musulmans, il y a une crainte qui existe au départ. Mais vu que beaucoup de voyageurs rencontrés nous ont dit d'aller découvrir ces pays merveilleux, cette crainte s'est vite estompée. Je pense même que l'Iran est le pays où l'on a été le mieux accueillis durant le voyage, avec de superbes discussions à chaque fois.

victor_voyage_ancien_ingenieur_asie_velo_tandem_projet_libellule_esme_sudria_03.jpgOutre les rencontres, ton aventure était belle aussi pour les paysages traversés. Quels sont ceux qui t'ont le plus marqué ?
Il y a forcément les paysages de Chine, dans la région du Yunnan et du Sichuan, où l'on côtoyait parfois des montagnes hautes de 7 000 m. Dans un genre plus désertique, tous les lieux liés à la route de la soie en Ouzbékistan, avec des monuments absolument sublimes, d'anciennes madrasas, des mosquées et mausolées faites de mosaïques, de céramiques bleu... Impossible aussi de ne pas penser à l'Europe, qui a de très belles régions à visiter à commencer par le long du Danube. En arrivant en France aussi, on observe une richesse de paysages magnifiques. D'ailleurs, on a bien pris notre temps avant d'arriver sur Paris. On voulait préparer notre retour.

Comment ça ?
Lorsqu'on termine un voyage comme celui-là, il est parfois difficile « d'atterrir ». On avait donc prévu de rester cinq jours à Zurich pour voir des amis de Timothée puis de s'arrêter une semaine à l'abbaye de Cîteaux, la maison-mère des Cisterciens, une fois arrivés en France. C'était une retraite pour réfléchir au voyage, à ce qu'on a été amené à voir, aux pays traversés... bref, pour faire le bilan et se demander quels souvenirs garder et quel message véhiculer. C'était important de ralentir le rythme pour arriver sereins et ne pas rentrer tout de suite dans le tourbillon de la vie parisienne. D'ailleurs, la dernière nuit avant d'arriver sur Paris, lorsque nous étions dans l'Essonne, nous avons été hébergés par un vieux monsieur qui avait traversé l'Afrique en stop il y a 50 ans... et qui a un petit-fils qui étudie actuellement à l'ESME Sudria ! Le hasard complet !

Justement, qu'as-tu fait depuis ton retour à Paris ?
J'ai retrouvé mes amis, ma famille et notamment mon frère qui a eu un fils pendant mon voyage ! Du coup, j'ai rencontré mon neveu pour la première fois. Ensuite, j'ai commencé à me mettre au chinois car je cherche un VIE (Volontariat International en Entreprises) en Chine pour avoir une première expérience de 2 ou 3 ans là-bas. C'est une chose à laquelle je pensais déjà quand j'étais à l'ESME Sudria. En parallèle, je prépare aussi mon projet professionnel en tant que jeune ingénieur : voir dans quels domaines me diriger et ce que cela peut m'apporter.

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« Une bonne stratégie, ce n'est pas forcément une idée nouvelle mais le fait d'éliminer certaines idées moins porteuses »

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Ingénieur de formation et spécialiste des systèmes d'information, Khaled Draz était l'invité des Mardis de l'ingénieur de l'ESME Sudria, le 2 décembre. Devant les étudiants, le directeur général de CS Systèmes d'Information est revenu sur le virage de l'innovation qu'a su prendre son entité pour continuer à être performante en tant qu'entreprise de taille intermédiaire (ETI) dans un secteur numérique en pleine (r)évolution.

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L'ingénieur doit être capable « d'évoluer dans un monde où rien ne se passe comme prévu »

Heureux d'être « devant des jeunes à la carrière prometteuse » pour cette conférence à l'ESME Sudria, Khaled Draz sait qu'il a en face de lui ceux qui seront amenés à dompter les futures technologies. « Ce qu'on attend d'un ingénieur, c'est d'abord d'avoir les connaissances de base mais surtout d'être capable d'évoluer dans un monde où, aujourd'hui, rien ne se passe comme prévu, annonce-t-il. L'ingénieur est celui qui peut mener n'importe quelle mission dans un environnement extrêmement mouvant. » Afin d'arriver à ses fins, l'ingénieur doit donc être pleinement impliqué dans son travail. Pour que ce soit le cas, il n'y a pas 36 solutions selon l'intervenant. « Il faut que vous soyez vous-mêmes, expliquait-il aux étudiants. Faites d'abord ce qui vous fait plaisir, qu'il s'agisse d'une mission scientifique, technique, de recherche ou de management parce que sinon ça se verra ! » L'implication des futurs ingénieurs a d'autant plus d'importance aux yeux de Khaled Draz que le secteur du numérique vit actuellement un tournant sans précédent. Secteur assez jeune avec 27 % de salariés de moins de 30 ans (dont 69 % de cadres et 93,6 % de CDI), le numérique se permet même de dépasser le secteur de l'aéronautique en matière d'emplois avec « près de 400 000 salariés en France et 6 000 nouveaux emplois de cadres créés en 2013 ». Sa progression est telle que ses effectifs ont quadruplé en 20 ans « malgré l'éclatement de la bulle Internet au début des années 2000 et la récente crise financière » dont on ressent encore les effets. Une embellie que l'on doit aux grands groupes mais surtout aux ETI et PME qui, dans l'Hexagone, représentent « les deux tiers des entreprises du numérique ».
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Innovation n'est pas diversification
Comprenant entre 250 et 5 000 employés chacune, les ETI sont au cœur de la révolution numérique. Dans « un contexte économique difficile » et face à une concurrence très forte « en particulier en France qui est l'inventrice du concept SSII », elles doivent à la fois se montrer innovantes sans pour autant se noyer dans la diversification de leurs activités. Pour répondre au besoin du monde actuel, sa première mission consiste d'abord à mieux se connaître elle-même : « Une ETI doit prendre en compte l'existant, c'est-à-dire son savoir-faire, la composition de ses effectifs et ses références clients - quels sont les projets réussis ? Ceux qui ont ratés ? » Pourquoi une telle introspection ? Parce que sa stratégie de compétitivité, contrairement à celle d'un grand groupe, doit passer par des remises en question régulières. « Une bonne stratégie, ce n'est pas forcément une idée nouvelle mais le fait d'éliminer certaines idées moins porteuses, assure Khaled Draz. Pour avoir une stratégie de développement valable, notamment en technologie, il faut déjà identifier les axes de force de l'entreprise : ses positions commerciales, ses ressources, sa capacité de croissance, son savoir-faire accumulé (R&D, produits & propriété intellectuelle), son marché accessible (quels clients dans quelle zone géographique ?) et son image. Il y a aussi une culture d'ingénieurs à valoriser, encore plus que dans un grand groupe. Le but étant de tirer profit de leur créativité tout en la canalisant pour maîtriser l'innovation qui est un vrai levier de croissance indispensable sur le marché : qui n'est pas capable d'innover, meurt. »

mardis-inge-khaled-draz-(2).jpgQuand l'ingénieur doit embrasser les SMACS
Cette réorientation, l'intervenant a eu justement l'occasion de la réaliser après être devenu directeur général de CS Systèmes d'Information en 2013, lui qui avait déjà connu CS de l'intérieur de 1997 à 2003. « Quand je suis revenu, j'ai observé le Groupe CS qui était alors perçu comme ayant de fortes capacités d'ingénierie et un vrai savoir-faire technique mais qui n'atteignait pas les degrés de croissance économique escomptés, détaille-t-il. L'entreprise était trop diversifiée et faisait plein de trucs sans qu'on ne sache plus vraiment quoi. Nous avons alors déterminé nos quatre principaux domaines de compétences - les systèmes d'aide à la conception, les systèmes décisionnels, les systèmes embarqués et les systèmes d'information - mais aussi l'un de nos plus grands atouts : le fait de très bien connaître le métier de nos clients. » De ce constat dressé par Khaled Draz et ses équipes est né une nouvelle dynamique, fortement influencée par « les SMACS » (Social, Mobility, Analytics, Cloud, Security), soit les cinq axes technologiques porteurs qui nécessitent autant « de créativité que de réactivité chez les ingénieurs ». Une véritable refonte qui ne passait pas forcément par la conquête coûte que coûte de nouveaux clients. « Nous avons décidé d'accroître nos positions chez nos clients actuels, en adaptant éventuellement de nouvelles offres avec de l'innovation que nous proposions jusque-là à certains d'entre eux. » Autrement dit : utiliser des compétences établies dans un domaine et trouver une possibilité de les transposer dans un autre pour engendrer de nouveaux services. Aux ingénieurs de demain de se montrer aussi malins.

Les étudiants de l'ESME Sudria Lille ont visité l'un des plus importants chantiers industriels de France

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Le 27 novembre, les étudiants de 2e année de l'ESME Sudria Lille ont eu la possibilité de visiter le futur terminal méthanier de Dunkerque, soit le deuxième plus gros chantier français derrière l'EPR de Flamanville. L'occasion pour ces futurs ingénieurs d'en savoir plus sur cette plate-forme gazière. Olivier Thierry, responsable communication pour Dunkerque LNG, la filiale d'EDF qui développe ce grand projet, nous en dit plus.

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Copyright : Dunkerque LNG - Happy Day

Qu'est-ce qu'un terminal méthanier et à quoi cela sert-il ?
Le gaz naturel, une fois extrait, peut être transporté de deux manières : sous forme gazeuse par gazoduc ou sous forme liquide. Dans ce dernier cas, le gaz est liquéfié en étant refroidi à très basse température (-160°C), ce qui lui permet d'occuper un faible volume (600 fois moins que sous forme gazeuse). Cette liquéfaction permet de diversifier les sources d'approvisionnement gazier. Trois étapes composent alors la chaîne du gaz naturel liquéfié (GNL) : la liquéfaction du gaz, le transport par méthaniers et la réception sur des terminaux méthaniers où il est stocké puis re-gazéifié avant d'être transporté et distribué.

Quelle est la particularité du terminal de Dunkerque ?
Il s'agit d'une installation portuaire qui permet d'accueillir et de décharger des navires méthaniers. Il est constitué d'installations de déchargement (appontement et bras articulés), d'installations de stockage (le GNL est transféré dans des réservoirs cryogéniques) et des installations de re-gazéification (soutiré des réservoirs, le GNL est réchauffé pour être re-gazéifié). La particularité du terminal de Dunkerque est qu'il va utiliser une petite partie des eaux tièdes de la centrale nucléaire de Gravelines pour réchauffer ce GNL grâce à un tunnel de 5 km passant sous l'avant-port ouest de Dunkerque. Revenu à l'état gazeux, le gaz naturel est injecté sous pression dans le réseau de transport à partir du terminal méthanier. À ce jour, 93 terminaux méthaniers sont en service dans le monde, dont 3 en France. Celui de Dunkerque sera le 4e.

Pourquoi est-ce important de faire découvrir ce site aux futurs ingénieurs de l'ESME Sudria Lille ?
Pour Dunkerque LNG, il s'agissait d'un engagement, dès le débat public qui a précédé la décision d'investissement, de permettre au plus grand nombre de suivre l'évolution du chantier. Par ailleurs, il est important d'accueillir sur notre site de futurs ingénieurs car pour mener à bien de tels chantiers, de nombreux ingénieurs ont œuvré et oeuvrent encore aujourd'hui. Si de telles visites peuvent créer des vocations... Des futurs ingénieurs de l'ESME Sudria seront peut-être un jour embauchés par EDF. Notre chantier étant actuellement le 2e plus important chantier industriel en France, il serait dommage pour les établissements et écoles de passer à côté de cette occasion.

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L'e-Smart Lab de l'ESME Sudria Lille à la rencontre des élèves de Terminale

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Pour la première fois, l'ESME Sudria Lille organisait une Journée Découverte des Métiers de l'Ingénieur ce 6 décembre. L'occasion pour une quinzaine de lycéens des alentours de découvrir la formation proposée par l'école mais aussi de faire plus ample connaissance avec l'e-Smart Lab, l'atelier de fabrication numérique commun à l'ESME Sudria Lille et e-artsup Lille.

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Avec ses acolytes de l'e-Smart Lab, Guillaume Hoarau (ESME Sudria promo 2018) avait tout prévu pour initier les élèves de Terminale aux joies de l'ingénierie et de la création. En plus d'une présentation des récents travaux effectués par l'atelier, comme ceux déjà montrés lors de la Code Week à Dunkerque, les étudiants voulaient permettre à leurs jeunes cadets de se faire eux-mêmes la main. « Nous leur avons proposé de s'attarder sur une pince mécanique ou sur un lance-planeur, raconte Guillaume. Dans le premier cas, ils devaient trouver un moyen de la robotiser à l'aide d'une carte Arduino. Dans le second cas, il fallait également réfléchir à l'utilisation de cette même carte en l'associant à un moteur pour faire décoller un planeur que nous avions déjà modélisé et créé grâce à notre imprimante 3D. » Les élèves ont ainsi pu repartir avec des notions de modélisation (« via le logiciel SolidWorks ») et de programmation (« ils ont pu apprendre à coder les parties permettant d'actionner le moteur »).

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Des imprimantes 3D qui impressionnent à l'ESME Sudria Lille !

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L'e-Smart Lab, l'atelier de fabrication numérique commun à l'ESME Sudria Lille et e-artsup Lille, fourmille de projets autour de l'impression 3D. Découvrez les deux derniers en date, entre café tweeté et construction Do It Yourself.

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Deux pièces réalisées par l'e-Smart Lab pour On Prend Un Café

#VoulezVousUnCafé? #AvecOuSansTweet?
Commander un café avec un tweet vous semble incongru ? C'est pourtant ce qu'a réussi à mettre en œuvre l'équipe d'On Prend Un Café avec l'aide de l'e-Smart Lab pour le projet Tweet Coffee. « On Prend Un Café est une agence proche d'e-artsup Lille car elle participe activement à la professionnalisation de la formation des élèves en prenant part à nos jurys et workshops en plus d'accueillir régulièrement des stagiaires, raconte Sylvain Coste, responsable pédagogique du campus lillois d'e-artsup. C'est donc naturellement que, suite à une problématique de capteur pour la Tweet Coffee, ils se sont tournés vers nous pour élaborer et réaliser une pièce en impression 3D permettant d'améliorer le système de détection de gobelet. Il s'agit de la première collaboration de ce type pour l'e-Smart Lab. Cela prouve la croissance indéniable des objets connectés et que nous devons plus que jamais être acteur de ces évolutions. »

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Quand l'e-Smart Lab fabrique sa propre imprimante 3D !
Ce qui est pratique quand on a une imprimante 3D, c'est qu'on peut l'utiliser pour... fabriquer une autre imprimante 3D ! C'est ce qu'a réalisé Guillaume Deshayes (ESME Sudria promo 2019). Après avoir passé le Concours Advance puis intégré l'ESME Sudria à la rentrée de septembre, Guillaume a tout de suite pris contact avec l'e-Smart Lab pour participer à la vie de l'atelier. « J'ai voulu rejoindre l'ESME Sudria Lille pour les cours proposés, bien sûr, mais aussi pour ce laboratoire participatif où l'on peut proposer ses idées et rentrer directement dans une "phase projet", explique l'étudiant, encore surpris d'avoir pu participer à une telle mission quelques mois seulement après son arrivée. Je ne pensais pas créer une imprimante 3D aussi vite ! Je pensais plutôt commencer par aider les étudiants de 2e ou 3e années. On m'a fait confiance et cela m'a plu. »

Pour la fabriquer, Guillaume s'est appuyé sur l'expérience de Johan Verstraete, le directeur du campus lillois de l'ESME Sudria, qui avait déjà pu en réaliser une pour son usage personnel. « Il avait déjà tous les fichiers clés, raconte Guillaume. On a alors utilisé l'imprimante de l'e-Smart Lab pour fabriquer toutes les pièces en PLA permettant l'assemblage des tiges. Ensuite, on a découpé le cadre avec notre laser. Enfin, on a commandé les pièces électroniques. Il ne restait alors plus qu'à suivre la fiche de montage. » Le résultat est cette belle imprimante 3D Prusa Mendel i3 Rework qui ne devrait pas tarder à servir à son tour pour les futurs projets de l'atelier.

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Trois bonnes raisons de rejoindre Sudriabotik, l'association de robotique des étudiants de l'ESME Sudria

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Lorsqu'un étudiant de l'ESME Sudria rejoint les rangs de Sudriabotik, c'est souvent parce qu'il a gardé dans un coin de sa tête quelques lointains souvenirs de combats robotiques télévisés. Une fois le seuil de l'association franchi, il découvre cependant un autre univers. À son arrivée au sein de l'école, Quentin Mercier (ESME Sudria promotion 2016) ne connaissait « absolument rien à la robotique » et n'avait justement « jamais vu un robot » de sa vie. Actuellement président de Sudriabotik, il ne voit désormais que des avantages à faire partie de cette association où le goût de la découverte se mêle à celui de la compétition.

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1. Pour devenir naturellement meilleur
Si l'association permet de se familiariser avec ce monde des robots si chers à Isaac Asimov, elle représente également une façon ludique de renforcer ses connaissances et de passer de la théorie à la pratique plus rapidement. « C'est un gros plus, estime Quentin. Je le vois bien : j'ai majoré quasiment tous mes TP de 3e année, non pas parce que j'étais plus fort que les autres mais tout simplement parce que j'avais déjà travaillé dans ce domaine-là avec l'association. Cela m'a donné des atouts pour réussir plus tard. » Au sein de Sudriabotik, on apprend tout sur place, étape par étape. On découvre ce qu'est un microcontrôleur, comment le programmer pour faire des tâches basiques, etc. Bref, tout ce qu'il faut savoir pour monter et programmer un robot en bonne et due forme.

2. Pour avoir l'opportunité de développer ses projets
Avoir des connaissances renforcées aide évidemment les membres de l'association à parfaire leurs projets, qu'ils s'agissent des robots compétiteurs de Sudriabotik ou d'autres projets comme ceux que présentent les étudiants lors du fameux Symposium concluant leur dernière année d'études. Plus tôt les étudiants mettent les mains « dans le cambouis », plus vite ils peuvent penser, améliorer et développer des projets à la technologie innovante. D'autres exemples existent aussi : Quentin a ainsi choisi de consacrer son projet de 4e année à l'amélioration des robots de l'association.

3. Pour s'amuser, tout simplement
Faire partie de Sudriabotik renforce les compétences des étudiants mais aussi les liens d'amitié qui unissent ses membres et si l'asso fonctionne aussi bien depuis sa création en 1996, c'est qu'elle offre également de beaux moments de rigolades avant et pendant les nombreuses compétions auxquelles elle participe. « On s'y amuse bien, assure Quentin. Connaître l'ambiance de la Coupe de France ou de Belgique, voire de la finale Européenne Eurobot, le fait de voir son robot fonctionner de manière autonome, de remporter un match, c'est un plaisir assez intense ! »

Bobama Tribes vs Galactiz : l'ESME Sudria élit son nouveau Bureau des Étudiants !

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Ce vendredi 9 janvier, le Bureau des Étudiants (BDE) de l'ESME Sudria Paris élira son nouveau directoire. Boris Rwegera (ESME Sudria promo 2017) et Hugo Houghton (ESME Sudria promo 2018) conduisent chacun une liste : Bobama Tribes pour le premier, Galactiz pour le second. Ils présentent leur programme. Que la meilleure gagne !

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Hugo (à gauche) vs Boris (à droite)

Bobama Tribes : « Rejoignez la tribu ! »

Pourquoi te présenter à l'élection du BDE ?
Boris Rwegera : J'avais l'impression que le BDE et le Bureau des Sports (BDS) et quelques autres associations étaient souvent tenues par les mêmes personnes ; je voulais donc essayer de changer ça, histoire que des étudiants des 1res, 2es et 3es années puissent prendre la relève au sein de ces deux associations phares.

Quels sont les grands engagements de ta liste ?
Il y en a trois principaux. Tout d'abord, on compte faire des partenariats avec des enseignes alimentaires autour des campus de Paris-Montparnasse et d'Ivry-sur-Seine pour que les étudiants de l'ESME Sudria obtiennent des réductions sur présentation de leur carte étudiante. On en a déjà un qui leur permet d'avoir une formule midi moins chère. D'autres sont à venir !
Ensuite, on va essayer d'organiser un week-end d'intégration en plus de week-ends et semaines de cohésion pendant les vacances scolaires. Ces moments seront l'occasion pour les étudiants participants de découvrir une ville d'Europe, comme Berlin, Londres ou encore Madrid. On cherche actuellement à établir un partenariat avec une agence de voyages dans ce but.
Enfin, on souhaite mettre en place une entraide scolaire car on a remarqué que les différentes promotions ne se côtoient pas assez de par leur répartition sur les deux campus. On espère donc créer une plateforme afin que les étudiants des années supérieures puissent donner aux plus jeunes des conseils et échanger leurs méthodes de travail, leurs archives de TP et leurs exercices.

Côté fêtes, vous avez également des idées ?
Même si on considère le gala comme un rendez-vous important, on souhaite également organiser des soirées avec d'autres écoles pour rencontrer de nouvelles têtes. On a déjà des contacts avec d'autres écoles d'ingénieurs et de commerce du Groupe IONIS mais aussi avec des écoles de bijouterie, d'infirmières... D'ailleurs, on réfléchit à la possibilité de lancer des olympiades entre écoles du Groupe IONIS !

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Galactiz : « Satourne ! »

Pourquoi te présenter à l'élection du BDE ?
Hugo Houghton : Cela fait longtemps que j'y songe et je suis d'ailleurs déjà membre du BDE en place, au service « Partenariats ». L'année dernière, mes amis et moi avions déjà voulu nous présenter mais cela n'avait pas été possible. Ça fait donc un an qu'on travaille nos idées dans le but de se présenter à nouveau. Il faut dire que, pour moi, c'est un vieux rêve que de faire partie de la vie associative d'une école.

Quels sont les grands engagements de ta liste ?
Animer la vie associative, mais aussi proposer des évènements en dehors de ce registre. Il y a, par exemple, la réalisation de partenariats bénéficiant à tous les étudiants de l'ESME Sudria. Une pizzeria propose déjà une réduction de 4 euros et deux autres établissements sont en cours de finalisation.
On souhaite également organiser davantage de conférences. L'idée serait de faire venir des Anciens de l'école pour qu'ils puissent présenter leurs activités, leur métier. Cela pourrait aider les étudiants qui, comme moi, ne savent pas encore dans quel domaine se spécialiser. Ce serait une sorte de complément aux Mardis de l'Ingénieur que propose l'école.
On imagine aussi un week-end d'intégration qui concernait l'ESME Sudria mais également l'IPSA, une autre école du Groupe IONIS qu'on côtoie sur le campus d'Ivry-sur-Seine.

Côté fêtes, vous avez également des idées ?
Oui, bien sûr. On aimerait lancer des soirées d'intégration, des soirées plus classiques, mais aussi des repas moins chers ou gratuits entre étudiants le midi. En plus de cela, on pense à des évènements associatifs réguliers et variés, comme des combats de sumos gonflables, une session Twister, etc. Le but étant d'animer le quotidien des étudiants et d'instaurer une bonne ambiance. Sans bonne ambiance, c'est difficile de bien travailler !

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ESME Sudria Lyon : la « première promotion » fête son départ !

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Lancé en 2012, le campus de l'ESME Sudria Lyon a vu sa « première promotion » quitter le nid pour réaliser un semestre à l'étranger puis poursuivre son cursus en 4e et 5e années à Paris. Un moment d'émotion pour les étudiants mais aussi pour le personnel de l'école qui, en trois ans, a pu s'attacher à ces futurs ingénieurs prometteurs.

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Eric Simon (à gauche), le directeur général délégué de l'ESME Sudria, est venu féliciter les étudiants

Ça y est. Après trois années rondement menées, les étudiants de la promotion 2017 de l'ESME Sudria ayant fait leurs armes au sein du campus lyonnais doivent faire leurs bagages, non sans une petite pointe au cœur. « On se doutait qu'il y aurait un petit pot de départ dans notre salle de travail pour dire au revoir à tout le monde autour d'un gâteau mais on ne s'attendait pas à avoir une coupelle de champagne, raconte Alexis Corbel, l'un des représentants de cette promo un peu particulière. C'était émouvant : on était tous ensemble et Monsieur Simon (actuel directeur général délégué de l'ESME Sudria, passé auparavant par la direction des campus lyonnais et lillois, ndlr) nous avait fait en plus une belle surprise en prenant le temps de venir nous voir malgré ses responsabilités. »

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« J'étais tenté par l'idée de faire partie de la première promo lyonnaise »
Comme ses camarades, Alexis sait que son départ signifie bien plus qu'une simple poursuite d'études. « Le fait qu'on soit tous arrivés à l'aboutissement de ces trois premières années, étudiants comme les membres de l'école, fait qu'on se souviendra longtemps de ce moment », assure-t-il, lui qui avait notamment fait le choix de rejoindre ce campus naissant pour le programme dispensé mais aussi pour faire partie intégrante de cette nouvelle aventure. « Depuis ma Terminale SI, j'étais déjà intéressé par l'électronique et comme l'ESME Sudria est reconnue dans ce domaine en plus d'autres matières, cela m'a convaincu. De plus, j'étais aussi tenté par l'idée de faire partie de la première promo lyonnaise ! » Les étudiants ont également profité de ce pot de départ pour aller rendre hommage à Hicham Souhail, leur professeur préféré. « Toute la promotion est allée le voir pendant son cours pour lui offrir un café, écrire plein de messages au tableau, etc. Cela nous tenait vraiment à cœur car il s'agit d'un des profs les plus sympathiques et emblématiques qu'on n'ait jamais eu à l'école », confie Alexis qui va prochainement s'envoler pour la Lettonie, direction la Riga Technical University, afin d'effectuer son semestre à l'étranger.

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Le professeur Hicham Souhail se souviendra longtemps de ce cours pas comme les autres

Ce n'est qu'un au revoir
Bien évidemment, le départ de ces futurs ingénieurs touche aussi Marine Inglebert, responsable des admissions et du développement de l'ESME Sudria Lyon, ainsi que les autres membres de l'équipe. « Voir ces étudiants nous quitter n'est pas évident, raconte-t-elle. Leur rentrée en septembre 2012 fut pleine d'émotion aussi bien chez eux, pionniers de cette nouvelle école, que pour moi... Depuis ce jour, se sont développées avec ces étudiants une confiance, une entraide et une complicité assez particulières. Je redoutais leur départ et les voir partir est assez dur... Ce pot de départ fut chargé en émotions et nous avons bien ri en énumérant un certain nombre d'anecdotes qui ont pu se passer aussi bien en déplacement avec eux à Marseille, Grenoble ou Saint-Raphaël, sur les salons étudiants à Lyon mais aussi au sein même du campus et de mon bureau. » Comme le dit toutefois une célèbre chanson écossaise, cette promo sympathique n'a pas encore fini de faire parler d'elle. L'ESME Sudria Paris accueillera ainsi ses membres dès la prochaine rentrée pour, gageons-le, d'autres beaux moments en perspective !

Quatre conseils de l'association étudiante 4L'Ements pour bien se préparer au raid 4L Trophy

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Du 19 février au 1er mars, cinq étudiants de l'ESME Sudria participeront à la 18e édition du 4L Trophy, ce raid automobile humanitaire destiné aux étudiants qui, à bord d'une 4L « pimpée », doivent traverser près de 6 000 kilomètres de route et de piste à travers la France, l'Espagne et le Maroc. Alors que le départ approche à grand pas, Arthur Dalsace (ESME Sudria promo 2016), participant de l'édition 2014 et président de l'association étudiante 4L'Ements, partage son expérience tout en livrant de précieux conseils pour les futurs concurrents.

association_4lements_etudiants_4l_raid_automobile_course_humanitaire_projet_mecanique_ingenieurs_participants_maroc_france_espagne_desert_competition_aventure_esme_sudria_conseils_03.jpg4L'Ements est l'association de l'ESME Sudria qui accompagne des jeunes étudiants volontaires et dynamiques dans leurs démarches pour le 4L Trophy. Si elle peut apporter une manne financière aux équipes participantes contenant un ou deux membres de l'ESME Sudria, elle est aussi une source précieuse de conseils. « Jusqu'à présent, les personnes qui rejoignaient l'association le faisait uniquement pour ensuite rejoindre le 4L Trophy de l'année en cours et cela s'arrêtait là : rien n'était fait pour les années suivantes, raconte Arthur, son nouveau président. J'ai voulu changer ça en mettant en place des documents permettant de les guider dans la préparation du raid. Je donne également de nombreux conseils concernant l'aspect mécanique - faut-il changer les pneus ? Équiper le véhicule d'un autre ventilateur ? Etc. - et des astuces auxquelles les étudiants ne pensent pas forcément, comme le fait d'emporter une ardoise et un stylo pour pouvoir communiquer entre voitures sans s'arrêter. Cela peut éviter bien des soucis, surtout en plein désert. »

Conseil n°1 : Trouver le bon coéquipier
Pour participer au 4L Trophy, il faut constituer un duo de choc capable de se transcender durant les 15 jours de compétition et de résister au stress ainsi qu'à la promiscuité. Nul besoin alors de préciser l'importance de la confiance portée en votre coéquipier. Pour former la meilleure paire possible, trouvez un bon camarade (cette année, deux équipes parmi les trois équipes estampillées « ESME Sudria » sont ainsi exclusivement composées d'étudiants de l'école) ou faites appel à un proche. C'est ce qu'avait fait Arthur l'an dernier : « Mon partenaire de course était mon meilleur ami, qui étudiait dans une autre école d'ingénieurs, plus axée mécanique. » Aussi, assurez-vous de choisir un acolyte à l'aise volant en main et doté d'un bon sens de l'orientation. « À tour de rôle, il vaut mieux alterner pilote et co-pilote car cela représente beaucoup d'heures de route. »

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Conseil n°2 : Dénicher la 4L de ses rêves
Une course sans un bon véhicule, c'est comme le « h » d'Hawaï : ça ne sert à rien. Pour trouver la 4L idoine, plusieurs solutions s'offrent à vous. « Mon coéquipier étant fils de garagiste, il a pu dénicher une 4L facilement pour 500 euros, raconte Arthur. On a ensuite fait des réparations pour environ 2 000 euros, main d'œuvre non comprise, sachant que nous avons vraiment monté une voiture de compétition : on l'a dénudée entièrement, refait le châssis, démonté et nettoyé le moteur, etc. Pour ce genre d'entreprise, il faut compter 3-4 mois de réparation. » D'autres concurrents s'organisent pour récupérer une 4L ayant déjà participé à la course lors d'une précédente édition. « Cela permet d'en avoir une déjà préparée pour la course ». Les autres en trouvent d'occasion, « souvent auprès de personnes âgées qui souhaitent s'en débarrasser ».

Conseil n°3 : Préparer son budget et partir à la chasse aux dons
Si le 4L Trophy est une course haletante et un sacré défi pour ses participants, il n'en reste pas moins un événement à vocation humanitaire. « Le but, c'est d'apporter des fournitures scolaires à des enfants marocains défavorisés », souligne Arthur. Pour cela, récolter des fonds est une condition sine qua non. Il faut donc essayer de trouver des partenaires pour lesquels les équipages s'engagent à faire de la publicité, souvent en poser un autocollant bien visible sur le véhicule. « Ce n'est pas évident car le 4L Trophy ne leur rapporte pas grand-chose. Les entreprises partenaires font alors cela sous la forme de dons. Il faut savoir que l'inscription à la course coûte 3 200 euros et que le total du coût s'élève environ à 5 000 euros puisqu'il faut aussi compter 1 000 euros pour la voiture (assurance, les péages, essence, etc.) et encore 1 000 pour les fournitures scolaires, les repas, les nuits d'hôtel, etc. »

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Conseil n°4 : Mettre les mains dans le cambouis avant le jour J
C'est toujours bon de comprendre la mécanique de son véhicule avant le départ pour ne pas être pris au dépourvu en cas de panne. « Un ingénieur devant être ingénieux, rappelle Arthur. Si l'on prend le temps de mettre les mains dans une 4L pour regarder comment c'est fait, on se rend compte que c'est à la portée de n'importe qui. Je le recommande vivement en tout cas car les pannes rencontrées durant le raid sont en fait souvent très simples à réparer. Cela évite d'attendre l'arrivée d'un mécano ou d'un autre équipage. » Pour autant, certains participants ne touchent pas à leur 4L avant la course... et, contrairement à ce qu'on peut penser, ceux-là peuvent ne rencontrer aucune panne durant le raid ! « C'est la preuve qu'il ne faut pas négliger le facteur chance ! »

Retrouvez tous les conseils d'Arthur sur le site Internet de l'association.

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Ouverture du portail APB : inscrivez-vous au Concours Advance pour augmenter vos chances d'intégrer une école d'ingénieurs réputée !

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Les inscriptions sur le portail Admission Post Bac (APB) seront ouvertes du 20 janvier jusqu'au 20 mars. Cela signifie que les lycéens préparant un Bac S ou STI2D vont pouvoir s'inscrire au Concours Advance, le seul concours qui offre la possibilité de rejoindre ensuite l'un des sept campus de trois écoles d'ingénieurs réputées : l'ESME Sudria, l'EPITA et l'IPSA !


Le portail APB, kézako ?
Le portail APB permet aux élèves de Terminale de faire leurs vœux sur leur admission Post-Bac. On y retrouve le Concours Advance, destiné aux élèves de Terminales S et STI2D. En réussissant ce concours, les futurs bacheliers inscrits peuvent intégrer trois écoles habilitées par la Cti à délivrer des titres d'ingénieur et ayant chacune leurs propres spécificités : l'EPITA, spécialisée dans l'intelligence informatique, l'ESME Sudria, généraliste, et l'IPSA, spécialisée dans l'aéronautique et l'aérospatial. Avec l'ouverture des inscriptions, les élèves peuvent donc faire leurs vœux jusqu'au 20 mars. Au sein du portail APB, ils devront alors faire le vœu Advance qui leur permet ensuite d'effectuer sept vœux correspondant respectivement aux sept campus de l'ensemble des écoles, parmi lesquels figurent les campus lillois, lyonnais et parisien de l'ESME Sudria !


Vous souhaitez préparer le Concours Advance ? Rien de plus simple !
Tous les candidats peuvent déjà se procurer les annales en ligne ainsi que celles distribuées dans de nombreux lycées. Ils peuvent aussi se préparer en téléchargeant l'application Advance Training pour Android et iOS ou en participant à une ou plusieurs journées de préparation après s'être préalablement inscrits sur le site du Concours : ils choisissent le jour qui leur convient parmi les dates proposées. La prochaine journée de préparation aura lieu le samedi 24 janvier. D'autres se poursuivront régulièrement jusqu'en mars.
Enfin, toutes les personnes souhaitant en savoir plus sur le Concours Advance ont aussi la possibilité de poser leurs questions à l'occasion des sessions de chat que nous organisons. Ces questions peuvent concerner les futurs métiers à la sortie des écoles, le concours en lui-même, les épreuves à passer, ce qu'il faut mettre en avant lors des entretiens de motivation, etc.


Découvrez ici d'autres témoignages d'étudiants de l'EPITA, de l'ESME Sudria et de l'IPSA ayant passé le Concours Advance !

L'ESME Sudria Lyon s'associe à l'ISEG Marketing & Communication School pour une Semaine de l'innovation et des marques spéciale objets connectés, du 2 au 6 février

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Du 2 au 6 février, l'ESME Sudria Lyon s'associe avec l'ISEG Marketing & Communication School Lyon pour la traditionnelle Semaine de l'innovation et des marques de l'école de commerce organisée au cœur du campus lyonnais de IONIS Education Group. Placée sous la thématique « Robots et objets connectés » et ponctuée par des ateliers pratiques ainsi que plusieurs conférences, cette semaine permettra aussi aux étudiants des deux écoles de constituer des équipes avec ceux d'Epitech Lyon et e-artsup Lyon pour participer à un grand challenge. Ce dernier proposera aux participants d'imaginer l'objet connecté de leurs rêves et d'en faire un projet de start-up viable.

iseg_marketing_communication_school_esme_sudria_campus_lyon_semaine_innovation_marques_challenge_conferences_robots_objets_connectes_labrobotech_startup_eartsup_epitech_evenement_ateliers_01.jpgDes robots et des hommes
Alors que les prévisions tablent sur près de 30 milliards d'objets connectés à l'horizon 2020, les campus lyonnais de l'ESME Sudria et de l'ISEG Marketing & Communication School décident de prendre le taureau par les cornes durant cette semaine événement. Si, du 2 au 6 février, les étudiants participeront à un challenge mêlant innovation et esprit d'entreprendre, de nombreux rendez-vous sont également prévus. Les 2 et 4 février, de 13 h à 17 h, les visiteurs pourront se familiariser avec les activités de Labrobotech, le club de robotique des étudiants lyonnais de l'ESME Sudria Lyon et d'Epitech.

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Le célèbre robot Nao sera-t-il de la partie ?

Quatre conférences à ne pas rater
Côté conférences, « les objets connectés au cœur du foyer », « Découvrir les Google Glass », « Le lapin Nabaztag, l'un des premiers objets connectés commercialisés » (animée par Christian Touseau, responsable du département Systèmes Embarqués et Electronique de l'ESME Sudria) et « Objets connectés, à la croisée des chemins » devraient satisfaire les étudiants comme les professionnels intéressés par cette tendance technologique sans précédent.

Informations, inscriptions, horaires et programme complet de cette semaine sur le site de l'ISEG Marketing & Communication School.


Venez découvrir InnovOrder, la start-up de Romain Melloul (ESME Sudria promo 2014), lors de la Prototype Fiesta organisée par l'accélérateur StartUp42, le 23 janvier

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Après quatre mois de travail intensif entrecoupés de conférences de professionnels et de visites de mentors, les sept start-ups de la 4e saison de StartUp42, l'accélérateur de start-ups numériques soutenu par l'EPITA, terminent leur période d'accélération. Parmi ces projets ambitieux et innovants se trouve InnovOrder, porté par Romain Melloul (ESME Sudria promo 2014) et Jérôme Varnier.

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Derrière ce nom fleurant bon la new wave des années 80 se cache en fait une solution personnalisable pour augmenter la performance des restaurateurs : InnovOrder offre la possibilité aux clients de prendre instantanément leur commande depuis un smartphone, un site Internet ou une borne tactile. Les utilisateurs peuvent également visualiser les plats en photos et entrer en interaction avec d'autres clients à l'aide de commentaires. À noter qu'InnovOrder a également rejoint l'Incubateur HEC !

Le vendredi 23 janvier, l'équipe d'InnovOrder ainsi que celles des autres projets de cette 4e saison présenteront leur avancement à l'occasion de la traditionnelle Prototype Fiesta qui clôt chaque saison de l'accélérateur. Business angels, entrepreneurs, étudiants et autres curieux sont donc les bienvenus dans les locaux de l'EPITA pour participer à cette grande fête de l'innovation !

Prototype Fiesta / clôture de la 4e saison de StartUp42
Le 23 janvier
À partir de 9 h 30
EPITA - Grand Amphi
24 rue Pasteur
94270 Le Kremlin-Bicêtre
Pour vous inscrire à l'événement, rendez-vous sur cette page dédiée

Retrouvez InnovOrder sur son site Internet, Facebook et Twitter.

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Mardi de l'ingénieur : l'ESME Sudria invite Laurent Labansat Bascou, directeur des opérations de Thales et Omnisys, le 3 février

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Les Mardis de l'ingénieur sont de retour. Pour la première conférence de cette nouvelle année, l'ESME Sudria a choisi d'inviter ses étudiants au voyage en recevant Laurent Labansat Bascou, directeur des opérations pour les sociétés Thales et Omnisys, afin d'aborder les enjeux et opportunités de la mobilité Internationale d'un ingénieur. Cet événement, ouvert aux étudiants de l'école mais aussi aux professionnels préalablement inscrits, sera organisé le 3 février de 18 h 30 à 20 h sur le campus d'Ivry-sur-Seine.

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Si, comme le rappelait Khaled Draz, le directeur général de CS Systèmes d'information, lors d'une précédente conférence, l'ingénieur a vocation à être « celui qui peut mener n'importe quelle mission dans un environnement extrêmement mouvant », il ne faut pas oublier que ce dernier doit également être capable de mobilité. Les multinationales et les grands groupes reposant sur des enjeux de développement stratégique à l'échelle mondiale, les ingénieurs doivent ainsi faire du mouvement une force supplémentaire pour valoriser leur expérience et évoluer plus rapidement sur le marché du travail. L'ESME Sudria, qui propose déjà à ses étudiants d'effectuer un semestre à l'étranger en 3e année pour découvrir une autre culture, a donc choisi d'inviter Laurent Labansat Bascou qui, à travers le partage de son expérience, abordera les caractéristiques du métier d'ingénieur à l'International.

Les Mardis de l'ingénieur avec Laurent Labansat Bascou
Thématique : «La mobilité Internationale d'un ingénieur : enjeux et opportunités »
Le 3 février, de 18 h 30 à 20 h, à l'ESME Sudria Paris-Sud Ivry.
38 rue Molière
94200 Ivry-sur-Seine
Inscription gratuite auprès de Mélanie Puglia, dans la limite des places disponibles.

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À propos de Laurent Labansat Bascou
Après l'obtention de son diplôme à l'ENSIEG, Laurent Labansat Bascou débute sa carrière chez Thomson en 1985, d'abord aux États-Unis puis en France. En 1994, il intègre Eurosam à Rome comme responsable de SAMP/T. Il est promu ingénieur en chef du système de défense sud-africain chez ADS à Captown. En 2000, il revient en France comme responsable du département d'intégration fonctionnelle de DCNS à Toulon. Il intègre Thales en 2009 à Paris et Omnisys en 2012 à São Paulo, comme directeur des opérations.


Les Mardis de l'ingénieur sont un cycle de conférences à destination des futurs ingénieurs formés par l'ESME Sudria. L'école accueille une personnalité importante notamment dans les champs scientifique, économique ou managérial. Ces échanges sont l'occasion pour les étudiants de mieux appréhender la place qu'ils occuperont dans les entreprises, où dynamisme et innovation sont de mise. Retrouvez les dernières conférences de Khaled Draz, directeur général de CS Systèmes d'information et Vincent Cottenceau (ESME Sudria 1999), commandant de l'Armée de terre.

Concours Advance : posez toutes vos questions lors de la session chat du mercredi 4 février 2015

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Les inscriptions sur le portail Admission Post Bac (APB) étant ouvertes jusqu'au 20 mars, les sessions chat du Concours Advance recommencent le mercredi 4 février de 17 h à 19 h. Vous êtes lycéen(ne) en Terminale S ou STI2D et vous souhaitez en savoir plus sur ce concours qui, avec un seul et même choix durant la procédure APB, offre 950 places réparties sur les 7 campus des écoles d'ingénieurs l'EPITA, l'ESME Sudria et l'IPSA ? Alors ne manquez pas ce rendez-vous online ! Modalités de participation, contenu des épreuves, entraînements, rôle de l'anglais, débouchés après diplômes : vous pouvez d'ores et déjà poser toutes les questions qui vous passent par la tête afin de préparer au mieux votre concours... et votre avenir !


En plus de la session chat du 4 février (et des prochaines sessions à venir), tous les candidats au Concours Advance peuvent déjà se procurer les annales en ligne et se préparer en téléchargeant l'application Advance Training pour Android et iOS ou en participant à une ou plusieurs journées de préparation. Si vous recherchez d'autres informations sur le Concours Advance, consultez le site www.concours-advance.fr.

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Forum Entreprises et Mardi de l'Ingénieur : retour sur un beau mois de décembre 2014 à l'ESME Sudria

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Au mois de décembre, l'ESME Sudria accueillait deux grands événements : le Forum Entreprises, qui permet chaque année à de nombreuses entités de venir rencontrer les futurs ingénieurs de l'école, et une nouvelle conférence des Mardis de l'ingénieur qui voyait cette fois-ci Khaled Draz, le directeur général de CS Systèmes d'information, partager son expérience avec les étudiants. Revivez dès maintenant en vidéo ces deux manifestations organisées respectivement les 2 et 4 décembre 2014.


Mardi de l'ingénieur : 4 points pour réussir son expatriation par Laurent Basanlat Bascou, directeur des opérations pour Thales et Omnisys

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Si les voyages forment la jeunesse, qu'en est-il des ingénieurs ? Réponse avec Laurent Basanlat Bascou, directeur des opérations pour les sociétés Thales et Omnisys au Brésil, invité d'une conférence le mardi 3 février 2015 dans le cadre des Mardis de l'ingénieur de l'ESME Sudria.

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Frère de Jean-François Basanlat Bascou (ESME Sudria promo 1982), Laurent Basanlat Bascou est un ingénieur qui a « vu du pays » depuis son entrée chez Thales en 1985. Passé successivement par la Côte d'Ivoire, les États-Unis, l'Italie et l'Afrique du Sud avant d'atterrir au Brésil en tant que directeur des opérations pour Thales et sa branche armée « auriverde » Omnisys, il peut même se targuer d'être un expert en ce qui concerne la mobilité internationale. Son parcours est d'ailleurs la preuve que « l'on peut rester 30 ans dans une entreprise sans pour autant faire toujours la même chose ». Il faut dire que Thales, avec ses 67 000 employés (dont la moitié en France) répartis dans 56 pays, est une entreprise résolument tournée vers le monde.

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Laurent Basanlat Bascou devant l'auditoire

S'adapter pour réussir
Pour Laurent Basanlat Bascou, « s'expatrier en Italie ou au Brésil, ce n'est pas la même chose » car « les cultures et les logiques sont différentes ». Ainsi, Thales a beau être connue en France et en Europe, ce n'est pas forcément le cas au Brésil où le marché est davantage l'apanage de « champions locaux ». Cette différence explique bien « la volonté de développement international » des grands groupes : « Pour vendre, il faut être local. Il ne faut pas se dire qu'on va vendre français : il faut s'adapter avec les locaux pour faire les activités sur place. » Mais cette adaptation ne se fait pas sans mal. L'occasion pour l'invité de ce Mardi de l'ingénieur de dresser une liste des quatre principales difficultés rencontrées dans ce cas de figure.

  • esme_sudria_mardi_ingenieur_conference_mobilite_internationale_voyage_culture_experience_parcours_etudiants_02.jpg1. La langue

Bien sûr, dans le monde global, parler anglais est un atout. Cela dit, selon le coin du globe où vous envisagez de vous expatrier, la langue de Shakespeare ne vous servira pas à grand-chose. C'est le cas au Brésil. « Les Brésiliens sont plus mauvais que nous en anglais, s'amuse l'ingénieur. Il faut donc parler portugais ! »

  • 2. La culture d'entreprise et l'adaptation au pays

La communication au sein d'une entreprise change selon le pays où elle est implantée. « Aux États-Unis, l'employé discute avec son chef, pas avec son voisin. C'est une communication verticale. À l'inverse, en France, on privilégie la communication horizontale : on ne fait que parler avec son voisin. Je dis toujours que la meilleure organisation en France, c'est de laisser les salariés s'organiser eux-mêmes : si vous attendez un mois, vous aurez une organisation qui fonctionne ! » Connaître la vision des choses avant son départ s'avère donc primordial. « C'est à vous de vous adapter à eux, pas l'inverse », tient à préciser Laurent Basanlat Bascou.

  • 3. La vie de famille

Même si rares sont les étudiants actuels de l'ESME Sudria à déjà être à la tête d'une petite famille, la question du conjoint et des enfants est très importante pour un expatrié. Avant de partir pour une durée plus ou moins longue, il faut savoir ce que valent les écoles à proximité pouvant accueillir votre progéniture. « Si vos enfants veulent faire de grandes études, se posera peut-être la question d'un retour en France, pour pouvoir étudier dans de meilleures conditions ».

  • 4. Le retour : le choc culturel inversé

À être trop bien adapté, le retour au pays peut s'avérer douloureux. « On peut être complétement perdu, signale l'ingénieur. On ne peut pas revenir comme ça en pensant être tout de suite compétitif. » Pour ne pas éviter de se brûler les ailes, la meilleure solution reste de ne jamais véritablement couper le cordon. « Il faut rester connecté avec sa famille, ses amis, son réseau », suggère Laurent Basanlat Bascou.

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